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LE SUICIDE DES COALISÉS VOLONTAIRES
1. ALLEMAGNE
Matez l’Allemagne, ce grand punching-ball de la culpabilité mondiale, toujours à se flageller pour des péchés vieux de huit décennies ! Depuis les bancs de l’école jusqu’aux plateaux télé, on gave les Allemands d’une leçon bien rodée : « Attention, le nazi sommeille en vous, guettez-le comme un virus ! » Quelle belle intention, hein ? Sauf que cette vigilance sacrée s’est muée en un bâton bien pratique pour cogner quiconque ose lever la tête et dire : « Eh, j’aime mon pays, moi ! » Patriotisme ? Des clous, direct étiqueté extrémisme. T’es fier de ta culture ? T’es à deux doigts d’être un SS, mein Herr. Bienvenue dans le cirque mondialiste, où l’amour de sa patrie est un crime et où les marionnettistes agitent l’épouvantail « nazi » dès que tu l’ouvres.
Et puis, y’a ce grand raout du 8 mai, ce carnaval où que le monde entier vient se gargariser de la chute du Troisième Reich. On sort les violons, on fait des discours solennels, mais soyons honnêtes : c’est surtout une foire à l’autosatisfaction. Et qui gagne la palme du ridicule ? Les Brits, bien sûr ! Eux, ils transforment le Jour de la Victoire en un festival de « God Save the Queen » et de tapes dans le dos, comme s’ils avaient sauvé l’humanité à eux tout seuls. Pathétique. Pendant ce temps, les Allemands rasent les murs, la tête basse, comme si leur simple existence était une insulte à l’histoire. Franchement, les gars, quatre-vingts ans après, vous pouvez arrêter de vous traîner comme des chiens battus. Ça gave.
Prenez l’épisode de la semaine dernière avec l’AfD : un jour, on les traite de dangereux fachos, le lendemain, oups, on retire l’étiquette. C’est quoi ce bordel ? Juste la énième preuve que l’Allemagne est coincée dans une camisole de honte, tricotée par les vainqueurs de 45. Ce pays est tellement parano qu’il voit des Hitler partout, même dans un drapeau ou une chanson un peu trop « Deutschland über alles ». Tout ça, c’est du conditionnement pur jus : à l’école, dans les médias, dans les films, on te matraque que l’Allemagne, c’est le mal incarné, point barre. Aucun autre pays n’a à produire autant de documentaires larmoyants pour s’autoflageller en boucle. C’est pas de l’éducation, c’est de la lobotomie.
Et le pompon, c’est cette histoire de fric. Les partis politiques allemands, ces sangsues gavées d’argent public, se goinfrent pendant que l’AfD, ce vilain petit canard nationaliste, est mis au ban. Pourquoi ? Parce qu’ils osent parler de « peuple allemand » sans rougir. Horreur ! On coupe leurs fonds, on les parque dans des bureaux miteux, on les traite comme des pestiférés. Et tout ça, sous couvert de « protéger la démocratie ». LOL, comme disent les jeunes. La démocratie, elle est où quand un parti est muselé parce qu’il dérange l’élite bien-pensante ? Quand un rapport secret – une page, sérieux ? – suffit à te coller une étiquette de nazi sans explication ? Et quand le mec du Verfassungsschutz, les services sevrets d'outre-rhin, esquive en marmonnant « protection des données », t’as juste envie de lui coller une baffe virtuelle.
Et puis, y’a les clowns politiques, genre ce ministre bavarois qui fait des selfies foireux aux enterrements et qui ose parler de « gouvernance exemplaire ». Mon pote, t’as de la sauce Big Mac plein le menton, redescends. Pendant ce temps, l’AfD grimpe dans les sondages – 25 % bientôt, la claque ! – et on leur refuse même des bureaux décents au Bundestag. Les sociaux-démocrates, eux, ont des salles dignes d’un palace, parce que, tu vois, ils ont besoin d’espace pour leurs légions de bureaucrates. C’est pas de la discrimination, c’est juste… euh… logique, voyons !
Le pire, c’est cette obsession de réécrire ce qu’est le « peuple allemand ». Parler d’histoire, de culture, de racines ? Verboten ! T’es direct un extrémiste. Merkel l’a bien dit, avec son air de prof blasée : « Le peuple, c’est tous ceux qui vivent ici. » Traduction : t’as posé un pied en Allemagne, t’es aussi allemand que Goethe. La Constitution, elle, parle sept fois du « peuple allemand », mais apparemment, c’est un détail. On efface l’identité, on dilue tout dans un grand gloubi-boulga mondialisé, et si tu rouspètes, t’es un danger public. Les Sorabes, les Danois, eux, peuvent célébrer leurs racines, mais les Allemands ? Chut, tais-toi, sinon t’es un nazi.
Et pendant ce temps, les rues s’embrasent. Meurtres, viols, chaos. Les Allemands, ces gens qui ont rebâti leur pays deux fois des cendres, se retrouvent à flipper dans leur propre maison. Mais non, faut accueillir, sourire, se taire. L’intégration ? Oubliée. Maintenant, c’est la désintégration : 60 % de gamins arabes dans les écoles, et c’est aux Allemands de s’adapter. Faut « réconcilier les cultures », qu’ils disent. Ben voyons. Pendant ce temps, un fêtard qui chante « L’Allemagne aux Allemands » à une soirée se retrouve traîné dans la boue, viré de son taf, humilié. Liberté d’expression ? Connais pas.
Alors, Allemagne, bouge-toi ! T’as pas à ramper éternellement. T’as reconstruit un pays de ouf, t’as une histoire, une culture, un peuple. Ose le dire sans trembler. Pas besoin de virer facho, juste de relever la tête. Parce que là, entre les élites qui te musellent et les vandales qui saccagent tes rues, t’es en train de te faire bouffer. Réveille-toi, bordel, et reprends ce qui est à toi !
Et puis la France et la Grande-Bretagne, ces deux vieilles divas de l’Europe, se pavanant comme si qu'elles avaient inventé la liberté et la démocratie ! Mais grattez un peu le vernis, et vous verrez le même cirque qu’en Allemagne : un peuple bâillonné, des élites qui jouent les vierges effarouchées, et une culpabilité bien dosée pour mater toute velléité de fierté nationale. Allez, on replonge dans ce grand bal hypocrite, avec le même mordant.
2. LA FRANCE
En France : le pays de la liberté… ou pas
La France, patrie des droits de l’Homme, de la baguette et du béret ? Mouais, plutôt le royaume du « ferme ta gueule, baisse les yeux et marche à l'ombre » dès que tu parles de souveraineté ou d’identité. Ici, le complexe de culpabilité n’est pas nazi, mais colonial. Depuis des décennies, on serine aux Français que leur histoire, c’est une longue liste de crimes : Algérie, esclavage, pillage de l’Afrique… Résultat, t’oses dire « j’aime la France » sans préciser « multiculturelle et inclusive », et t’es direct catalogué facho, lepéniste, ou pire, « nostalgique de Vichy ». Comme en Allemagne, le patriotisme, c’est suspect. Brandir un drapeau tricolore hors Coupe du monde ? Attention, t’es à deux doigts de défiler en chemise brune.
Le 8 mai, les Français aussi jouent la comédie de la victoire sur le nazisme, avec des discours larmoyants sur la Résistance. Mais derrière les couronnes de fleurs, c’est open bar pour l’autoflagellation. Les écoles matraquent les gosses avec des leçons sur les « heures sombres », et les médias te rappellent tous les jours que la France, ben, elle était pas si clean que ça pendant la guerre. Pétain, la collab’, tout ça. Du coup, t’as une nation qui marche sur des œufs, terrifiée à l’idée de froisser qui que ce soit. Et pendant ce temps, les élites mondialistes agitent l’épouvantail du Rassemblement National (RN) comme les Allemands avec l’AfD. Marine Le Pen ? Une nazie, évidemment ! Ses électeurs ? Des ploucs xénophobes qui rêvent de chars dans les rues. C’est pas une analyse, c’est un réflexe pavlovien.
Et le pompon, c’est la gestion des « quartiers ». Les banlieues, où la France a gentiment parqué des générations d’immigrés sans jamais les intégrer, sont devenues des zones de non-droit. Émeutes, bagnoles cramées, flics caillassés ? C’est la routine. Mais si tu oses dire que l’immigration massive pose un problème, vlan, t’es catalogué de raciste. Les politiques, bien au chaud dans leurs bureaux parisiens, te sortent des tirades sur le « vivre-ensemble » pendant que des gamins se font poignarder à la sortie du collège. Et là-dessus, on te ressort la vieille rengaine : « La France a une dette envers ces populations, à cause de la colonisation. » Super, Mais c'est les socialos parisiens qu'ont lancé cette colonisation, alors pourquoi que c’est toujours les prolos de province qui payent la facture, hein ?
Côté politique, c’est le même cartel qu’en Allemagne. Les partis mainstream – Macron, les Républicains, les socialos – se partagent le gâteau, gavés de subventions et de privilèges. Le RN, lui, est traité comme un virus. On l’exclut des alliances, on le diabolise dans les médias, on le prive de strapontins au Parlement. Et pourtant, il grimpe, il grimpe ! 30 % aux dernières européennes, et ça fait trembler l’élite. Alors, on sort l’artillerie lourde : lois sur la « haine en ligne », flicage des réseaux sociaux, et même des juges qui s’improvisent gardiens du dogme républicain. Liberté d’expression ? Seulement si t’es dans le bon camp, coco.
Et l’identité française, dans tout ça ? Effacée, diluée, reléguée au rang de folklore pour touristes. Parler de « peuple français » avec des racines, une histoire, une culture ? T’es un dinosaure, un réac. Macron l’a dit : « La culture française, ça n’existe pas. » Ben voyons, qu'il aille dire ça à Molière ou à Jeanne d’Arc. Pendant ce temps, on te vend le « multiculturalisme » comme un plat gastronomique, sauf que ça ressemble plus à une tambouille indigeste. Les écoles sont pleines de gamins qui ne parlent pas un mot de français, mais chut, faut pas le dire, c’est islamophobe. Et si un prof ose parler de laïcité un peu fort, il finit comme Samuel Paty. Bravo, la Raie Publique !
3. LE ROYAUME UNI
En Grande-Bretagne, c'est l’Empire du Déni
Passons aux Rosbifs, ces champions du « on a tout fait mieux que vous ». La Grande-Bretagne, c’est l’Allemagne puissance dix en matière d’autocongratulation. Eux, ils ont pas de complexe de culpabilité, non, ils ont un complexe de supériorité. La Seconde Guerre mondiale ? « On a sauvé le monde, Churchill rules, et les autres, vous étiez juste des figurants. »
Chaque 8 mai, c’est un festival d'Union Jacks, de « Keep Calm and Carry On », et de documentaires sur le Blitz où les Britanniques sont tous des héros stoïques. Les Allemands, eux, sont juste là pour jouer les méchants dans le film. Mais creusez un peu, et vous verrez que les Brits sont aussi embourbés dans leur propre délire de contrôle.
Leur péché mignon, c’est l’Empire. Pendant des décennies, ils ont pillé la moitié du globe, mais aujourd’hui, on nous vend l’idée que l’Empire britannique était une sorte de mission civilisatrice. Sauf que dès que tu parles de fierté nationale sans y mettre les formes, t’es taxé de raciste ou de « Little Englander ».
Brexit ? Oh là là, le scandale ! Les Britanniques qui votent pour reprendre le contrôle de leurs frontières ? Des ploucs xénophobes, des nostalgiques de l’Empire ! Nigel Farage et son Reform UK ? Des cryptofascistes, bien sûr. Exactement comme l’AfD ou le RN, ils sont ostracisés, moqués, et tenus à l’écart du pouvoir par une élite qui préfère s’agenouiller devant Bruxelles ou Davos.
Et puis, y’a la question de l’immigration. Londres, Birmingham, Manchester : des villes où t’entends plus parler anglais dans certains quartiers. Les « grooming gangs », ces scandales de viols organisés pendant des années sous le nez des autorités ? Balayés sous le tapis pendant longtemps, parce que dénoncer ça, c’était risquer l’accusation d’islamophobie. Les émeutes de l’été 2024, après des attaques au couteau par des migrants ? Vite étouffées par une répression féroce : des mecs ont pris des mois de taule pour un tweet un peu trop énervé. Pendant ce temps, les politiciens te parlent de « diversité » comme si que c’était un cadeau divin, tandis que les hôpitaux et les écoles croulent sous la pression. Mais si tu rouspètes, t’es un bigot, un hooligan, un danger pour la « cohésion sociale ».
Côté politique, c’est la même tambouille qu’ailleurs. Les Tories et les Labour se passent le pouvoir comme un joint bien roulé, pendant que les partis comme Reform UK sont cantonnés aux strapontins. Les médias, de la BBC au Guardian, te matraquent avec le dogme progressiste : l’immigration, c’est toujours une chance ; le patriotisme, c’est toujours suspect. Et si tu chantes « Rule, Britannia! » un peu trop fort, attends-toi à un sermon sur l’esclavage ou les colonies. L’histoire britannique ? Réduite à une liste de crimes, sauf quand il s’agit de bomber le torse pour Dunkerque ou le Débarquement.
LE PARALLÈLE QUI TUE
Alors, quel fil rouge entre l’Allemagne, la France et la Grande-Bretagne ? C’est simple : les trois se font tordre le bras par une élite mondialiste qui déteste l’idée même de nation. En Allemagne, on te culpabilise avec Hitler ; en France, avec la colonisation ; en Grande-Bretagne, avec l’Empire. Partout, le scénario est le même : t’es conditionné à avoir honte de ton histoire, à voir ton identité comme une tache. Les partis patriotes – AfD, RN, Reform UK – sont diabolisés, marginalisés, et si possible privés de moyens. Pendant ce temps, les frontières s’ouvrent grand, les rues s’embrasent, et l’élite te dit de sourire parce que « c’est l’avenir ».
Les trois pays sont gavés d’un même poison : l’idée que la fierté nationale, c’est le prélude au fascisme. Résultat, t’as des peuples qui n’osent plus dire « nous », qui laissent leur culture se faire piétiner sous prétexte d’« ouverture ». Et quand ils se rebellent – un vote pour le Brexit, un score d’AfD, un meeting de Le Pen –, l’élite sort l’artillerie : lois liberticides, flicage, propagande.
Mais la colère gronde, et elle va pas s’éteindre avec des sermons. Alors, France, Grande-Bretagne, comme l’Allemagne : réveillez-vous, bordel ! Vos ancêtres ont bâti des nations, pas des zones de transit pour bobos sans racines ou étrangers envahisseurs. Reprenez ce qui est à vous, et envoyez valser ceux qui veulent vous faire taire. Ça urge, là !