8 avr. 2025

1039. Young Global Leaders: Les poupées de Klaus "Barbie" Schwab

 

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YOUNG GLOBAL LEADERS: LES POUPÉES DE KLAUS "BARBIE" SCHWAB
Un regard de quasi-initié amateur sur la racine glauque des Young Global Leaders de Klaus Schwab et leur complot sournois pour bidouiller notre monde à leur sauce  

Ok, amigos, l’une des plus grandes blagues cosmiques de notre époque, c’est cette petite illusion mignonne que le Forum économique mondial (FEM), cette sauterie annuelle de Klaus Schwab perchée dans les Alpes suisses comme un nid d’aigles pour mégalos, serait le grand méchant loup prêt à dévorer la liberté et la prospérité de l’Occident. Détrompez-vous, les naïfs !  

Ne vous y trompez pas, hein : le FEM et sa fameuse "Grande Réinitialisation" ne sont pas juste un numéro de clowns en costard hors de prix. C’est le cirque principal, un festival de bla-bla autosatisfait où les grands gourous de la bien-pensance se tapent dans le dos, pendant que les riches et les puissants se frottent les mains dans les coulisses de Davos, ce club VIP des Alpes. Mais une menace ? 
Oh, pitié, plus maintenant ! Ces vieux croûtons grincheux, avec leurs articulations qui grincent autant que leurs idées, peuvent se la couler douce avec leur cognac millésimé et leurs sourires narquois. Leur sale boulot est bouclé, les graines sont semées, et ils regardent le chaos pousser tranquilos depuis leurs balcons panoramiques.  

Non, la vraie bombe à retardement, c’est ailleurs : la clique des Jeunes Leaders Mondiaux (Young Global Leaders ou YGL), ces petits soldats fanatiques du Forum Economique Mondial (FEM), ces jeunes loups dressés pour piétiner votre liberté et réduire votre individualité en purée avec leurs pompes bien cirées. Leur plan ? Un marathon vicieux, une stratégie de longue haleine pour bétonner leur Nouvel Ordre Mondial (NOM) jusqu’à ce que vous n’ayez plus d’autre choix que de dire "Merci patron"
 
Schwab et ses sbires ne sont pas tombés de la dernière pluie, oh que non. Ils ont vu les révolutions tape-à-l’œil, avec du sang, des cris et des guillotines, s’essouffler en deux temps trois mouvements. Non, pour que ça tienne, il faut de la patience, du travail de fourmi, des petits coups irréversibles – genre balancer des millions de migrants en plein cœur de l’Europe pour retourner la table une bonne fois pour toutes. Et qui s’y colle ? Les Young Global Leaders (YGL), ces joujoux rutilants tel Gabriel Tattal pour les plus jeunes et les plus sexuellement introvertis, sortis de l’usine Schwab, calibrés pour durer et faire des étincelles. 
 
D’où viennent ces YGL, vous-demanderez-vous, en grattant vos têtes de moineaux ? Bonne question ! Les Sherlock amateurs pointent le début des années 90, 1992 pour être précis, quand Schwab, encore tout frétillant du collapse communiste en Europe, sort de son chapeau les Leaders Mondiaux de Demain "Global Leaders for Tomorrow" (GLT). Mais ne croyez pas qu’il a inventé la roue tout seul comme un grand génie solitaire. Non, non, c’est du recyclage de luxe : il a piqué la partition au Séminaire international d’Henry Kissinger, un petit bijou lancé en 1951 par le grand-maître lui-même, avec l’aide des cerveaux du Conseil des Relations Étrangères (Council on Foreign Relations ou CFR) et des espions tout frais de la CIA. Objectif ? Contrecarrer les rouges à l’étranger tout en dressant une armée de futurs dirigeants prêts à lécher les bottes à l’Oncle Sam.
  
En 92, avec le cadavre soviétique encore tiède, Schwab et son FEM se pavanaient déjà dans le saint des saints de l’élite mondiale, prêts à découper le gâteau planétaire. Les GLT ? Une version 2.0 du délire de Kissinger, avec un logo plus sexy et une touche de modernité. À l’époque, tout le monde s’en foutait, trop occupé à sabrer le champagne de la fin de la Guerre froide pour capter les manigances de ce serpionnettiste à lunettes. On aurait dû flairer l’embrouille, mais bon, avec le recul, c’est toujours plus facile de jouer les malins, hein ouais ?
 
Passons aux choses sérieuses et disséquons ces GLT : qui, quoi, comment ? Comme leurs petits frères YGL, chaque cuvée GLT, c’est environ 200 pépites triées sur le volet – affaires, politique, facs, sport, arts, médias, la totale. Tous sous la barre des 43 ans, tous soi-disant choisis pour leurs "performances exceptionnelles" ou leurs jobs en or, dixit un article du FEM pondu pour son 40e anniversaire.(Pdf en anglais. Utilisez Google Doc translate pour le mettre dans votre langue) Sauf que, surprise, c’est du pipeau monumental !  

Prenez Angela Merkel, la star de la promo inaugurale. Quel exploit intergalactique lui a valu sa médaille en 1993 ? Présidente de la CDU dans un coin paumé, Mecklembourg-Poméranie-Occidentale, après avoir été une parfaite inconnue. Ou Nicolas Sarkozy, futur roi de France, dans la même fournée : à l’époque, il végète dans l’ombre régionale avant de décrocher un poste de ministre moyen. 
Et Poutine, hein ? Un vague adjoint au maire de Saint-Pétersbourg, pas franchement un titan. Ajoutez à ça José Manuel Barroso, José María Aznar, Tony Blair, Viktor Orbán, Bill Gates – tous des GLT. OK, Blair et Gates commençaient à pointer le bout de leur nez, mais rien de transcendant. Alors, quoi ? Si ce n’est pas le talent ou l’influence qui ouvre la porte, c’est quoi ?  

Seuls Schwab et sa bande de recruteurs le savent. Mais d’après un ex de la CIA qui a failli se faire happer par les YGL, le flair de Klaus, c’est pas celui d’un coach qui repère des poulains prometteurs. Non, c’est un maître-espion qui déniche des profils bien juteux : ambitieux, malléables, un peu bruts mais prêts à briller sous son aile tordue.  

Imaginez Schwab en recruteur de l’ombre, l’œil perçant, cherchant des prédateurs opportunistes avec une colonne vertébrale en acier trempé dans une foi aveugle. La CIA kiffait ça aussi : des esprits flexibles, un don pour manipuler, une passion discrète pour semer le chaos, le tout dans une coquille blindée pour encaisser les coups tordus.  

Riez si vous voulez, mais son radar a des ratés. Orbán et Poutine, ex-GLT, jouent les rebelles 30 ans plus tard, crachant sur tout ce que Schwab chérit. OK, mais ça prouve juste qu’ils ont gravi les échelons avec les mêmes atouts – ambition, pragmatisme, culot – qui les ont fait entrer. Ces deux électrons libres montrent que la machine a des fissures, que les GLT n’étaient pas tous des toutous bien dressés. Le programme s’arrête en 2003, secoué par des chamailleries internes au FEM, avant de revenir en 2004 avec les YGL, version relookée et boostée par un prix d’un million de dollars que Schwab empoche pour avoir "transformé le FEM en mastodonte mondial". Merci, Dan David, pour le chèque de ton grand prix!  

Comment devenir un Young Global Leader
D’après leur propre pub dégoulinante, les YGL, c’est une bande de "pionniers dynamiques et inspirants" qui s’attaquent aux gros problèmes avec une "vision holistique et avant-gardiste". Derrière ce baratin ? Un projet de féodalisme numérique où une élite riquiqui domine pendant que nous, les gueux, jouons les rats de labo pour leur grand délire de "nouvel humain".  

Ils opèrent depuis une fondation suisse bien cosy, sous l’aile protectrice de l’État helvète. Un conseil de 14 pontes dirige, avec 40 anciens en renfort pour murmurer des conseils, et une équipe de 10, menée par Schwab et un magnat islandais au nom imprononçable, Björgólfur Thor Björgólfsson. Les candidats ? Triés au peigne fin : 28-38 ans, dont 5 à 15 ans de "succès", charisme, carrière au top, et une vibe de sauveur social. Pas d’auto-nomination, hein, faut être pistonné. Depuis 2005, 200 à 250 chanceux sont intronisés chaque année pour six ans. Aujourd’hui, plus de 1 400 diplômés infestent tous les coins de la société.
  
Qui choisit ces marionnettes ? 
Mystère et boule de gomme. En 2004, c’était les "titans des médias", puis un jury VIP avec la reine de Jordanie en guest star. Une monarchie absolutiste pour cueillir les sauveurs de l’humanité ? Sans déconner ?  

Qui finance ces guignols ?
En 2018/19, leur caisse affiche 338 millions de dollars. D’où ça vient ? 18,5 millions de dons, 20 millions d’investissements, et le gros lot – 300 millions – de "services de programmes". Traduction : soit ils vendent des formations bidon pour gaver les cerveaux de propagande, soit ils jouent les entremetteurs de luxe entre milliardaires et marionnettes politiques. Une vraie maison close idéologique, avec Schwab dans le rôle de la taulière.  
La COVID a été leur jackpot : un nouveau milliardaire toutes les 30 heures, pendant que les pauvres s’enfoncent. Gates, Şahin, Bourla ? Ils ont pas surfé la crise, ils l’ont pilotée. Davos 2020, c’était 119 milliardaires et 53 chefs d’État – le pouvoir a glissé des urnes aux coffres.  

Comment penser comme un Young Global Leader ?
Leur "Vision et Mission" ? Un ramassis de niaiseries qui sent le stagiaire en panique. "Inspirer", "Connecter", "Transformer" – bla-bla-bla sur le "bien commun" et "l’intérêt public mondial". C’est vague, c’est flou, c’est un chèque en blanc pour imposer leur délire. Ils ne s’adaptent pas, ils ingénient, et leur rêve, c’est une société en fusion permanente, où vous courez jusqu’à l’épuisement pour suivre leur "progrès"  

Leurs principes ?
Générosité, Authenticité, Respect, Impact – un quatuor de banalités mielleuses qui cache leur vrai jeu.
"Générosité" ? De la politesse de base qu’ils vendent comme une révolution. 
"Authenticité" ? Des platitudes dignes d’un horoscope. 
"Respect" ? Demandez à Macron, Trudeau, ou à Harden, la néo-zélandaise aux dents de cheval (qui a dû démissionner quand sa paire de boules est devenue de notoriété publique) qui traitent les récalcitrants de racistes ou de déchets. 
"Impact" ? Une croisade pour un "monde meilleur" où traditions et racines sont des obstacles à dynamiter.  
Leur but ? Un "Homme nouveau", déraciné, prêt à plier devant leur Nouvel Ordre Mondial. Vos élus ne sont pas idiots, ils sont juste des pions, des Young Global Leaders.


Vous vous êtes bien amusés ? Voici d'autres informations pour ceux que tout ça fait saliver.

Il s'agit pas d'un seul cri de guerre, mais de deux. Premièrement, contre quiconque ne salue pas son drapeau arc en ciel et son badge aux 17 colobjectifs ; deuxièmement, une attaque éclair contre le fondement culturel de toute société – qu'on l'appelle peuple, nation ou famille. Une salve, c'est audacieux ; deux, c'est excessif, signe qu'ils sont très sérieux dans leur projet de destruction. Débarrassez-vous des clichés mièvres de la page d'accueil, et le jeu des Young Global Leaders brille : un « Homme nouveau », détaché de l'histoire, de la foi ou de la culture. Pourquoi ? Le ciment d'une société se dissout lorsque sa colonne vertébrale commune s'effondre, entraînant avec elle la résistance au Nouvel Ordre Mondial. Cette fin de partie, conjuguée à l'influence du Forum Économique Mondial, couronne les Young Global Leaders comme une menace de premier plan – peut-être la menace – de cette nouvelle et courageuse dystopie.