26 févr. 2025

1019. L'Étoile de la mort de l'UE s'effondre


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L'ÉTOILE DE LA MORT DE L'UE S'EFFONDRE

L'Union européenne se noie dans une insignifiance qu'elle s'est elle-même forgée  : et c'est une énorme victoire pour les peuples d'Europe.

L’UE, cette machine à gaz bureaucratique, se vautre dans son insignifiance qu’elle a elle-même fabriquée. Et devinez quoi ? C’est une putain de victoire pour nous, peuples Européens. Pendant que l’administration Trump essaie de se sortir du merdier ukrainien – un bordel géopolitique créé par des années d’arrogance occidentale – les petits marquis de l’OTAN s’accrochent désespérément à leur croisade anti-Russie, une guerre qu’ils ont déclenchée en 2014 avec la prévoyance de petits branleurs jouant avec des allumettes.

Ces gardiens autoproclamés de la « liberté » – les donneurs de leçons de l’UE qui envoient des équipes de flics robocopisés déglinguer l’appart d’une mamie allemande parce qu’elle a osé poster un mème qui a froissé leur ego fragile – sont tellement obsédés par leur jihad anti-Russe qu’ils sont prêts à foutre le feu aux restes de l’économie européenne.

Et l’ironie dans tout ça ? Ils défoncent les portes des villes allemandes, saisissent les ordis pour une caricature, tout en se pavanant sur la liberté et en pointant du doigt un « fascisme américain ». Fascisme ? Regarde-toi toi-même, connasse : les descentes de police pour délits d’opinion, c’est du pur manuel de la Gestapo, pas une parodie de l’Amérique de Trump.

Pourtant, ils sont là, à transformer des nations entières en pions militarisés, de la chair à canon pour leur délire de faire face à la machine de guerre russe et de gagner. C’est plus que dégueulasse – c’est une blague de mauvais goût, une trahison de tous les principes qu’ils prétendent défendre, tout en pointant du doigt l’Amérique comme si eux étaient les parangons de la vertu.

Leur stratégie, c’est un ragoût de désespoir, un joueur fauché qui mise ta maison, l’avenir de tes mômes, sur un fantasme de victoire qui ne convaincrait même pas un poivrot à la fermeture du bistro. C’est pas de la défense, c’est de la tyrannie déguisée en liberté à deux balles, et l’odeur de leur hypocrisie pourrait faire vomir un putois.

Et qui d’autre que le Royaume-Uni, champion de la paranoïa russophobe, pour se précipiter pour lancer cette charge suicidaire ? Keir Starmer, avec toute la gravité d’un gars qui auditionne pour le rôle de « l’idiot utile » dans la comédie la plus sombre de l’histoire, déclare que Londres est prête à balancer des troupes rosbeef de « maintien de la paix » – quelle blague – dans le hachoir à viande ukrainien.

Il pontifie que c’est « essentiel » pour que l’Occident soutienne Kiev, pour garantir une « paix durable » mythique qui préserve bien sûr la souveraineté de l’Ukraine en tant qu’État fantoche de l’Occident. Essentiel, dit-il, pour « dissuader Poutine de toute nouvelle agression » – comme si que la réponse de la Russie à l’avancée incessante de l’OTAN vers l’est était la colère non provoquée d’un méchant de dessin animé plutôt que le recul prévisible d’une nation qu'en a ras le cul d’être poussée à bout.

La logique de Starmer, c’est du grand n’importe quoi : déclencher une guerre pour y mettre fin, ruiner nos économies pour les sauver, et appeler ça de l’art politique. Adam Smith doit se retourner dans sa tombe, et Machiavel rigoler devant l’amateurisme de tout ça.

Posez-vous la question : quand l’ingérence moralisatrice de l’OTAN a-t-elle déjà apporté la paix au lieu de remplir les poches des profiteurs de guerre ? Regardez la Libye, l’Afghanistan, l’Irak : des paysages infernaux, des plaies ouvertes qui engendrent des fanatiques prêts à brûler votre maison, vous trancher la gorge et violer votre femme – pendant que les gros bonnets de Bruxelles et de Washington collent des autocollants « victoire » sur le carnage.

Ce sont pas des triomphes, ce sont des atrocités déguisées en mensonges, et l’UE est là, à applaudir comme une otarie de cirque pendant que des flics allemands défoncent la porte d’un pauvre type pour un mème qui a osé taquiner leurs précieux maîtres. La liberté ? Essaie de vendre ça au mec menotté pour avoir traité le candidat à la chancellerie allemande Scholz de pleurnichard, un « crétin » – un petit loser fragile qui poursuit des inconnus en ligne parce que son ego de merde peut pas encaisser une choucroûte de vérité  dans la gueule.

C’est le même génie qui s’accroche à l’idée d’une copie de X contrôlée par l’Europe, un jouet de propagande pour étouffer le débat, te bourrer le crâne de conneries de gauche et trouver une nouvelle excuse pour coffrer quiconque se plie pas à leur dogme stupide.

Pendant ce temps, les bombes « humanitaires » de l’OTAN transforment les berceaux en cratères, et l’UE ose dire que c’est noble, un héritage à perpétuer maintenant que l’Amérique ne veut plus jouer le jeu. Pathétique, c’est un euphémisme – c’est un cirque de clowns avec des menottes.

C’est une provocation qui se pavane dans un tutu humanitaire usé, une imposture si éhontée qu’elle prétend à la vertu tout en accumulant une facture en sang et en euros. Et qui paye ? Bien sûr pas les bureaucrates de Strasbourg ou de Bruxelles – ils sont trop occupés à surveiller nos memes et à soigner leur ego blessé pour s’occuper des monstres qu’ils ont créés.

L’effondrement de l’establishment européen après le discours de JD Vance, c’est un carnaval grotesque de clowns sans couilles et ivres de pouvoir qui ont transformé leur « union » en un marécage de répression. Ces parasites moralisateurs ont eu le culot de s’offusquer comme des aristos vexés quand Vance a dénoncé leur censure étouffante, leurs raids musclés, leurs régulations qui étranglent l’industrie, leurs arrestations de gens qui prient dans leurs rues, tout en se pavanant sur leurs trônes dorés, faisant la leçon au monde sur la « tolérance ». La tolérance ? Ils en ont aucune pour quiconque ose remettre en question leur dogme fragile – des politiciens qui poursuivent les dissidents comme des petits seigneurs médiévaux, pendant que les technocrates de l’UE déchaînent leurs goulags numériques sur quiconque a la témérité de sortir des vérités.

Et les doubles standards ? C’est un égout puant : ils chouchoutent les radicaux violents et excusent les gangs de violeurs migrants sous le prétexte de « différences culturelles », mais crucifient un travailleur pour un post sarcastique sur X en moins de temps qu'il en faut pour prononcer « discours haineux ».

Ce sont les mêmes escrocs sans colonne vertébrale qui ont laissé leurs villes pourrir, leurs frontières se dissoudre et leurs économies s’étouffer sous un dogme vert si stupide qu’il fait couler des industries entières – des escrocs suffisants et fanatiques de l’écologie. Ils sont pas juste hypocrites ; ils sont une bande de lâches pharisiens qui préfèrent brûler leur propre peuple sur le bûcher plutôt que d’admettre que Vance a touché juste.

Dégoûtant ? C’est trop gentil – c’est une trahison si puante qu’elle empoisonne l’air, une odeur de lâcheté et de contrôle déguisée en justice. Les politiques de l’UE, c’est la colère de petits tyrans qui feraient rougir n’importe quel fasciste, et ils ont le culot de pointer les autres du doigt. Le summum de l'hypocrisie.

Alors que Trump, avec une rare lucidité, voit la débâcle ukrainienne comme une plaie purulente laissée par ses prédécesseurs – un vestige coûteux de l’ingérence de l’ère Obama-Clinton et de la sénilité de Biden – il veut sortir les États-Unis de ce merdier orchestré par l’OTAN. Mais de notre côté de l’Atlantique, les toutous européens du Deep State grondent à l’idée d’une paix, désespérés de faire monter la machine de guerre à fond.

Dans un édito du 16 février dans le Telegraph, Keir Starmer, l'enculé socialo qui gouverne outre-Manche, a dévoilé cette intransigeance sanguinaire, suppliant presque l’UE et l’OTAN de saboter toute velléité de cessez-le-feu. Il a tonné que la volonté de Trump de trouver une solution menaçait de « gâcher tous les sacrifices consentis pour défendre l’Ukraine jusqu’à présent » – des sacrifices, notez-le bien, mesurés en vies ukrainiennes et en euros d’impôts européens, pas en gains tangibles pour le citoyen moyen.

Le plaidoyer moralisateur de Starmer est plein de cynisme : « La paix ne peut être obtenue à aucun prix », dit-il, comme si que le prix d’une guerre sans fin ne ruinait pas déjà les nations et ne détruisait pas les souverainetés. Il insiste pour que le régime de Kiev « soit à la table des négociations », de peur que le monde ne reconnaisse la vérité dérangeante de Poutine : l’Ukraine est une fiction occidentale soutenue par des milliards d’armes et de propagande.

L’attachement du Royaume-Uni à ce conte de fées de « l’Ukraine souveraine et démocratique » est risible, c’est une bouée de sauvetage pour une élite londonienne si déconnectée de la réalité qu’elle pourrait aussi bien gouverner depuis une cellule capitonnée.

La cerise sur le gâteau de Starmer, c’est sa petite parenthèse suffisante : « La fin de cette guerre, quand elle viendra, ne peut pas simplement devenir une pause temporaire avant que Poutine n’attaque à nouveau. » Ce « quand elle viendra » n’est pas un lapsus, c’est une confession.

Le Royaume-Uni, et par extension ses marionnettistes de l’OTAN, sont déterminés à prolonger ce conflit pendant des années, une stratégie à long terme pour maintenir la Russie enlisée et le complexe militaro-industriel en marche. Peu importe que l’armée britannique elle-même soit une coquille vide – le recrutement s’effondre, l’équipement rouille et le moral est une blague.

Les illusions de grandeur de Starmer ne bronchent pas devant de telles vétilles ; il est prêt à opposer cette relique essoufflée aux forces aguerries du Kremlin. Et il est pas seul : notre propre Macron, toujours aussi prétentieux, a convoqué un « sommet d’urgence sur l’Ukraine » le 17 février, en associant l’Allemagne, l’Italie, la Pologne, l’Espagne, les Pays-Bas, le Danemark et une ribambelle de hauts gradés de l’UE et de l’OTAN.

Ces nations ont à peine les armées capables de préparer une parade de majorettes, sans parler d’une guerre, et pourtant elles se pavanent comme si qu'elles étaient prêtes à prendre d’assaut Moscou. C’est une parade grotesque d’orgueil, un continent de tigres de papier rugissant contre un ours qu’ils ont passé une décennie à piquer avec des banderilles.

Dites-moi, quand cette forme de « solidarité » européenne a-t-elle abouti à autre chose qu’à la ruine ? Les fantômes de Versailles et de la Yougoslavie pourraient vous en apprendre, mais vous attendez pas à ce que ces dirigeants nous écoutent ; ils sont trop occupés à compter les profits de leurs marchands d’armes et à enrôler vos gosses pour la prochaine folie glorieuse.

Et puis il y a le fantasme complètement dérangé que ces escrocs de l’establishment européen colportent maintenant – ils concoctent une armée européenne parce que, oh non, « l’Amérique est devenue folle » et « a laissé l’Europe toute seule » à se débrouiller, toute seule toute seule. Pour se défendre contre quoi, exactement ? Ces bureaucrates délirants de Bruxelles pensent sincèrement que la Russie est assise là, se tortillant la moustache, complotant pour écraser le continent jusqu’aux deux caps Finistère, Français comme Ibérique, comme si Poutine avait rien de mieux à foutre que d'aller courir après leurs moulins à vent pathétiques et leurs fromages qui puent hors de prix. C’est un rêve fiévreux si absurde qu’il serait hilarant s’il était pas si dangereux.

Leur grande solution ? Une armée européenne. Quelle blague de mauvais goût. Elle est vouée à l’échec dès le départ, et la raison est évidente : personne ne mourra pour ce drapeau torchon bleu mou et pathétique parsemé d'étoiles creuses. L’histoire est claire : les Français ont saigné pour la France, les Italiens pour l’Italie, parce que ces nations signifiaient quelque chose de viscéral : la terre, le sang, la famille, une âme commune. Même la « chrétienté » a jadis rallié l’Europe sous la bannière de la foi, un fil noble reliant les gens à quelque chose de plus grand qu’eux-mêmes.

Qu’offre l’UE ? Un vide sans âme, sans culture, une bureaucratie stérile remplie de technocrates suffisants et surpayés qui n’ont jamais touché terre, qui ronronnent dans leurs hideuses tours de verre à propos des quotas de transgenres, des pets de vache et de la réduction au silence des paysans pour « sauvegarder la démocratie ».

Qui se lancera pour ce genre de merde dans la bataille ? Personne voudra rendre son dernier souffle dans une tranchée boueuse pour qu’Ursula von der Leyen puisse siroter du champagne avec ses acolytes non élus ou pour que le nouveau chancelier allemand fraichement élu Merz, parrainé par Blackrock, puisse imposer une autre taxe verte à moitié cuite à ses citoyens et rouvrir ses frontières aux migrants en dépit de ses promesses.

Les Européens le sentent dans leurs os : cette Union vaut pas une seule goutte de sang. C’est une machine sans visage, un terrain de jeu pour des étrangers possédés par une idéologie pour laquelle personne n’a voté, obsédés par le contrôle alors que leurs propres villes s’effondrent, que leurs frontières fuient et que leurs peuples bouillonnent.

Tout ce spectacle sent la tentative pathétique et hésitante de gagner en importance alors que les vrais acteurs – Washington et Moscou – négocient un accord en Arabie saoudite, laissant les faucons de guerre européens se mettre à l’écart. Pourtant, étonnamment, même des nations de petite taille comme le Danemark se frayent un chemin dans ce cirque de l’escalade, comme si quelqu’un leur demandait de verser leurs deux couronnes danoises.

Le service de renseignement de la défense danois (DDIS) a le culot de proclamer que « la Russie pourrait être prête à mener une guerre à grande échelle en Europe d’ici cinq ans si elle perçoit l’OTAN comme faible » – une prédiction formulée avec la certitude suffisante d’un diseur de bonne aventure qui lit dans les feuilles de café pour payer sa pitance.

Leur rapport en dit long, affirmant à bout de souffle que Moscou « renforce ses capacités militaires pour se préparer à une éventuelle guerre contre l’OTAN ». Arrêtons-nous un instant et émerveillons-nous devant le niveau de cette absurdité : c'est les mêmes propagandistes de l’UE et de l’OTAN qui ont passé des années à clamer que la Russie était embourbée, saignée à blanc et « perdante en Ukraine ». Alors, de quoi s’agit-il ? Le Kremlin est-il une bête blessée qui boite vers la défaite, ou un ours masto-dantesque qui se prépare à écrabouiller l’Occident ? La contradiction est si flagrante qu’elle relève presque de la performance artistique – la preuve que la logique a quitté la scène, laissant derrière elle un bloc de bureaucrates paranoïaques qui serrent leurs rapports de groupes de réflexion comme des couvertures de sécurité.

Imaginez la Première ministre danoise Mette Frederiksen, se pavanant avec la gravité d’une élue de village périgourdin prétendant avoir de l’importance sur la scène mondiale, acquiesçant à ces balivernes. C’est pas de la stratégie, c’est du désespoir déguisé en analyse.

Si la Russie se prépare vraiment à une confrontation avec l’OTAN, pourquoi gaspiller ses forces à se battre en Ukraine contre une armée par procuration alimentée par l’argent occidental ? Le récit du DDIS s’effondre sous son propre poids – à moins, bien sûr, que vous ne croyez à l’idée que Poutine joue aux échecs en 4D pendant que l’OTAN est coincée sur un plateau de dames, trop occupée à gaspiller des milliards pour s’en rendre compte.

Ce n’est qu’une campagne de peur, un prétexte bon marché pour justifier des budgets militaires plus importants et un contrôle plus strict alors que les économies européennes gémissent sous la pression. Regardez le Danemark lui-même – son armée est une erreur de décimale, sa pertinence encore moins, et pourtant ce pays est là, attisant les flammes comme si qu'il était aux premières loges de l’Armageddon. C’est l’équivalent géopolitique d’un chihuahua qui aboie de sa voix de freluquet et qui cherche à se battre avec un ours, et le reste de l’UE l’encourage, trop cynique ou trop illusionné pour voir qu’ils sont rien que des pions dans un jeu qu’ils ont déjà perdu.

Posez-vous la question : quand ce genre de posture a-t-il déjà dissuadé un rival au lieu de simplement enrichir les marchands d’armes ? L’histoire est jonchée de débris – pensez aux menaces de la république de Weimar ou aux échecs incessants de la guerre froide. L’Europe ne se prépare pas à la guerre ; elle auditionne pour devenir insignifiante, et le scénario est une farce.

Vos voulez rire encore plus ? Mette Frederiksen n’a pas pu résister à l’occasion de gonfler ses nibards, déclarant avec toute la bravade d’une brute de cour d’école que « Copenhague et ses alliés européens doivent intensifier leur préparation au combat » parce que, naturellement, « il n’y a aucun signe que Moscou souhaite réellement la paix ». C’est un scénario éculé : dépeindre la Russie comme un agresseur insatiable, ignorer les provocations incessantes de l’OTAN et espérer que personne ne remarque l’hypocrisie.

La grande dame de l’UE, Ursula von der Leyen (La Hyène), intervient avec la même ferveur, insistant sur le fait que le bloc « a besoin d’un renforcement de la défense » – comme si injecter plus d’argent dans un navire en train de couler pouvait d’une manière ou d’une autre le rendre apte à naviguer. Ce sont les cris de guerre de dirigeants qui font face à l’insignifiance, parfaitement inconscients que leurs tambours de guerre battent en retraite dans l’obscurité.

Mais voici le hic : même si Bruxelles pouvait trouver par magie l’argent nécessaire à ce grand fantasme de militarisation, l’épine dorsale industrielle de l’Europe – en particulier celle de l’Allemagne – s’est déjà effondrée sous le poids du dogme vert et des crises énergétiques auto-infligées.

Le PDG de Rheinmetall, Armin Papperger, a mis les choses au clair dans le Financial Times : « Les dépôts de munitions européens et ukrainiens sont presque vides », a-t-il ironisé, ajoutant que l’insignifiance croissante de l’UE l’a reléguée à la « table des enfants » tandis que la Russie et les États-Unis se partagent les véritables affaires.

Il a pas tort : la souveraineté de l’Europe est un mythe, une coquille vide soutenue par les ficelles des marionnettes américaines et les illusions d’une gloire passée. La désindustrialisation n’est pas seulement un hoquet ; c’est le glas. L’Allemagne, autrefois moteur économique du continent, s’essouffle aujourd’hui, ses usines sont fermées ou boiteuses, incapables de produire les obus et l’acier que cette machine de guerre exige. Bonne chance pour la défense « en plein essor » quand on peut même pas garder les lumières allumées – la main invisible d’Adam Smith n’applaudit pas pour ce fiasco ; elle se frappe la tête d'exaspération.

Pourtant, malgré leur fanfaronnade agressive, l’UE et l’OTAN suscitent moins de respect qu’un parapluie en papier crépon dans un ouragan. Leurs menaces n’intimident pas ; elles amusent. Les États membres se vantent de « défendre une Ukraine souveraine et démocratique » – un noble slogan en effet – mais ils sont rien de plus qu’une bande de cabots querelleurs, trop timides pour s’éloigner du groupe. Quand vient le moment d’intervenir et d’affronter l’ours russe de front, la bravade se transforme en excuses gémissantes.

Prenez la Conférence de Munich sur la sécurité – un échec si lamentable qu’il aurait pu être écrit par Kafka. Le président finlandais Alexander Stubb, avec le sérieux d’un homme qui a lu trop de brochures sur l’UE, a insisté sur le fait qu’« il n’y a aucun moyen d’avoir des discussions ou des négociations sur l’Ukraine, l’avenir de l’Ukraine ou la structure de sécurité européenne, sans les Européens ». Des mots audacieux, mais où est le contenu ? Il a rien proposé – aucun plan, aucun muscle, juste un pet chuinté, juste du vent.

Le reste du chœur UE-OTAN était tout aussi édenté, esquivant les garanties comme les jeunes ukrainiens esquivent les avis de conscription. Il s’agit pas d’une coalition, mais d’un peloton d’exécution circulaire, chaque membre attendant que quelqu’un d’autre prenne le coup. Quand ce bloc fracturé a-t-il déjà eu la force d’agir seul ? Regardez le Brexit ou la crise de la dette des PIGS (Portugal, Italie, Grèce et Espagne aussi connus comme Pays Club Med) : l’unité est un slogan, pas une réalité. Ils défendent pas l’Ukraine, ils s’accrochent à leur pertinence, et l’ours se contente de rigoler en affutant ses griffes.

Le Premier ministre polonais Donald Tusk, toujours maître des paroles audacieuses et des actes timides, illustre cette lâcheté européenne avec une précision chirurgicale. Il hésite pas à annoncer que Varsovie ne risquera pas une seule botte polonaise sur le sol ukrainien – oh non, c’est beaucoup trop brouillon – mais il est « prêt à soutenir les pays qui sont prêts à le faire ». Traduction : « Vous chargez les lignes russes ; je vais applaudir depuis l’arrière, peut-être envoyer une carte postale. »

C’est comme si on tenait la porte ouverte pendant que quelqu’un d’autre se précipite dans une maison en flammes. Même le Royaume-Uni, le plus bruyant des pom-pom girls de cette escalade imprudente, ne peut cacher la vérité : l’OTAN n’est qu’un presse-papier sans la force de l’Oncle Sam.

Keir Starmer, dans un rare moment d’honnêteté accidentelle, admet que « même si les nations européennes doivent intensifier leurs efforts en ce moment », le soutien américain reste « crucial » – la « garantie de sécurité américaine est essentielle pour une paix durable » car « seuls les États-Unis peuvent dissuader Poutine d’attaquer à nouveau ».

Comme c’est étrange. Il passe commodément sous silence un détail embêtant : Washington a déjà clairement fait savoir que les troupes américaines ne s'impliqueraient dans aucune mission de « maintien de la paix » en Ukraine, même avec une perche de 6 mètres. Le Pentagone est pas stupide – il sait qu’envoyer des soldats américains se frotter aux forces russes signifie un aller simple vers des avions-cargos de sacs mortuaires. Starmer compte sur une bouée de sauvetage dont la ligne de vie a déjà été coupée, et l’ironie est plus épaisse que le brouillard londonien.

Du point de vue de Moscou, cela doit être une mine d’or de comédie. Alors que les ingénieurs du Kremlin déploient de nouveaux jouets – des armes à longue portée capables de réduire en cendres les fantasmes de l’Europe – les responsables russes balaient calmement les ultimatums occidentaux. Ils ont tracé une ligne dans le sable : le sort des Russes ethniques en Ukraine n’est pas sujet à marchandage, peu importe ce que Trump leur fait miroiter.

Ce dernier a laissé entendre que Moscou pourrait devoir « renoncer à quelque chose » pour parvenir à un accord, mais la réponse de la Russie est un haussement d’épaules d’acier – parlez de paix si vous voulez, mais vous attendez pas à ce que nous rampions. Les menaces et le chantage de l’Occident rebondissent comme des glaires de poitrinaires sur un char d’assaut, car la Russie sait que l’UE et l’OTAN sont trop occupées à trébucher sur leurs propres pieds pour poser un véritable défi. Pourquoi craindre un bloc qui ne sait même pas décider qui tient l’arme, et encore moins comment s’en servir ?

Au milieu de ce cirque, quelques voix sensées résonnent encore, à peine audibles par-dessus les tambours de guerre. La Hongrie, toujours l’épine dans le pied de Bruxelles, refuse de jouer le jeu de la folie belliciste. Le ministre des Affaires étrangères Péter Szijjártó a pas mâché ses mots, incendiant le pow-wow parisien de Macron comme une tentative pathétique d’une « bande de fauteurs de guerre » pour « contrecarrer la paix et prolonger la guerre ».

Alors que l’UE se pavane et se pavane encore, la Hongrie est l’une des rares à dénoncer les illusions éhontées de l’empereur. C’est une rare lueur de raison dans un continent ivre de sa propre propagande, où les dirigeants préfèrent ruiner leurs nations et saigner leurs mandataires plutôt que d’admettre qu’ils sont dépassés.

Regardez le bilan : les guerres « humanitaires » de l’OTAN, du Kosovo à la Libye, n’ont laissé que chaos et bazars d’armes en solde. Maintenant, ils ont hâte de répéter le scénario en Ukraine, et Szijjártó est le seul à être assez impoli pour souligner l’évidence : c’est du suicide, et la facture est déjà dans le courrier.

Épargnons-nous les lamentations mélodramatiques – inutile de nous accrocher à nos perles ou de nous lamenter comme un chœur dans une tragédie grecque sur l’Ukraine, l’OTAN ou les précieuses « valeurs » de l’Europe. La vraie question n’est pas « qu’en est-il d’eux ? » – mais plutôt où diable étiez-vous lorsque l’UE s’affairait à remplir ses ports de gaz russe, alors même que Bruxelles prêchait la souveraineté énergétique et la défiance envers le Kremlin ?

Poutine a pas seulement financé cette guerre ; il l’a financée avec les propres euros de l’Europe, joyeusement distribués par des bureaucrates moralisateurs qui n’ont pas pu résister à une affaire. L’UE a été le principal client de la Russie, un fidèle mécène de la machine de guerre à laquelle elle prétend s’opposer, tout en se pavanant comme le chevalier blanc de la démocratie. Une hypocrisie aussi riche mérite une ovation debout – ou peut-être juste un réflexe nauséeux. La prochaine fois que quelqu’un se pavane devant les principes européens, montrez-lui les pétroliers GNL qui accostent à Rotterdam et regardez le sermon s’éterniser.

Maintenant, Trump intervient, impatient de mettre un frein à ce foutu bazar, et on pourrait penser que les eurocrates et leurs chiens de garde progressistes des médias organiseraient une parade. Au lieu de ça, ils hurlent comme si quelqu’un avait volé leur foie gras sur la table de la rue de la Loi. « Capitulation ! » hurlent-ils. « Injuste pour l’Ukraine ! Tout ce sang, gaspillé ! » Comme s’ils pensaient sincèrement que cela finirait par un Poutine rampant et Kiev hissant le drapeau de l’UE au-dessus du Kremlin.

Réveillez-vous, ce n’est pas un conte de fées où le bien triomphe et le mal s’efface. Les racines de cette guerre remontent à un cadavre de la guerre froide qui n’a jamais eu d’enterrement convenable en 1990, ses fractures se fendant largement des décennies plus tard parce que personne n’a eu le courage ou le cerveau de les sceller.

Et ne nous leurrons pas : Biden a gonflé la machine de guerre avec de l’argent et des armes, jetant l’Ukraine dans le broyeur sans jamais tendre une vraie carotte à Poutine ou esquisser une rampe de sortie politique qui ne soit pas imprégnée de fantaisie. Aucune garantie, aucune solution, juste un chèque en blanc pour le chaos.

Le choc de l’Europe face aux accords de Trump est moins une tragédie qu’une crise de colère – la preuve qu’elle préfère s’accrocher à ses illusions plutôt que de se regarder dans le miroir. Où est passée l’indignation pour la dernière décennie de lâcheté et de complicité ? Que l'UE garde ses larmes ; elles sont aussi fausses que sa colonne vertébrale.

Pendant que Bruxelles gaspillait ses journées à débiter des déclarations pompeuses et des promesses creuses, l’Ukraine était en pleine hémorragie sur les lignes de front, livrée à elle-même, tandis que les élites européennes jouaient à leurs petits jeux. Elles n’avaient aucun scrupule à canoniser Zelensky comme le fils prodigue de l’Occident quand il convenait à leur propagande, le faisant parader comme un enfant messianique de la démocratie.

Maintenant que la fin de la guerre se profile, ce même Zelensky est soudain devenu un fardeau – quel inconvénient pour les scénaristes de Strasbourg. Quelqu’un dans ce bloc égaré a-t-il sérieusement pensé que Washington enverrait des soldats américains à Kiev, laissant le sang américain inonder le Donbass comme il l’a fait dans les jungles de Saigon ? S’il vous plaît, un peu de sérieux...

Revenons à 2008 : la Russie a découpé la Géorgie comme un rôti, et les États-Unis ont pas bronché. Le fantasme européen d’une cavalerie américaine venant à la rescousse est aussi ridicule que pathétique – et pourtant, ils s’y sont accrochés, car affronter la réalité est trop effrayant pour des bureaucrates aux retraites confortables.

La seule chose que les Américains devraient se donner la peine de sauver, c’est l’Europe elle-même – l’arracher des griffes visqueuses et étouffantes de cette abomination grotesque campée à Bruxelles, et en faire un véritable partenaire sur la scène mondiale. Pas un rival mesquin et chancelant, mais une force qui se tient aux côtés de l’Amérique, s’attaquant aux vrais défis et aux percées à venir : la technologie de pointe, l’exploration spatiale, l’intelligence artificielle, etc. Les Européens pourraient déverser leur génie dans ces domaines au lieu de s’étrangler avec des réglementations obsessionnelles ou d’étouffer l’innovation avant même qu’elle ne reprenne son souffle.

Trump a fait ce que Biden n’a jamais eu le courage de faire : il a regardé le désordre en face et l’a appelé par son nom. L’Ukraine n’a jamais voulu reprendre la Crimée des mains de la Russie – l’adhésion à l’OTAN était une carotte tendue pour faire tourner le hachoir à viande, et les frontières européennes ? Elles ont déjà bougé, et elles vont encore bouger.

Kiev aurait pu jouer intelligemment dès le départ – imiter le numéro d’équilibriste de la Finlande après l’URSS ou la neutralité de l’Autriche dans les années 1950, en équilibrant survie et dignité. Putain, même une Ukraine divisée, à la manière de l’Allemagne de la guerre froide, aurait pu être un compromis chaotique mais viable et vivable, laissant une lueur d’espoir pour la réunification sans empiler des cadavres comme du bois de chauffage.

Mais non – l’Europe a choisi la guerre, car la paix ne flatte pas l’ego de l’UE. Il s’agissait pas de défendre quoi que ce soit ; il s’agissait d’externaliser une bagarre par procuration pour affaiblir la Russie, tout en sirotant un expresso et en pontifiant sur leur supériorité morale. Maintenant, Trump est prêt à signer un accord, et les mêmes clowns qui ont présenté cette guerre comme une fatalité se prennent la tête à deux mains, se plaignant que la paix est une trahison. Pardonnez-moi – depuis quand Bruxelles se soucie-t-elle de l’Ukraine au-delà de sa valeur publicitaire ?

Ils se plaindront que signer la paix maintenant rend chaque mort inutile, comme si que les soldats de Verdun ou de Stalingrad comptaient le retour sur investissement sur leurs tombes. Les guerres se terminent par des poignées de main ou des redditions – ça a toujours été le cas et ça le sera toujours – et exiger que le massacre se prolonge simplement parce que c’est pas la fin de conte de fées que Bruxelles avait imaginée est d'une perversité horrible.

Trump a mis l’UE hors jeu, la traitant comme la cousine idiote que personne n’invite à la table des adultes. La paix est en train d’être négociée entre Washington et Moscou, à la manière de la guerre froide, tandis que l’UE – après des décennies de fanfaronnade sur son influence mondiale – reste sur la touche, marmonnant des platitudes que personne d’autre que la gauche européenne n’accepte.

L’Europe est un sandwich coincé entre Trump et Poutine, et Bruxelles est trop occupée à se pavaner pour remarquer les miettes qui tombent. Le message de Trump est clair : l’OTAN n’est plus votre baby-sitter – achetez votre propre parapluie. Les États-Unis ont les yeux rivés sur la Chine, Taïwan, le Pacifique ; l’Ukraine n’est plus qu’un fardeau – laissez-la se reconstruire, commercer, s’adapter, mais ne retenez pas votre souffle en attendant un final hollywoodien car il n’a jamais été sur la table.

Poutine a enseigné à l’Europe une vérité brutale : la force l’emporte toujours sur la moralité. Demandez au fantôme de Milosevic – il vous dira ce que les mots font face aux chars. La Russie a verrouillé ses gains, a fait un doigt d’honneur à « l’ordre international » et s’en est sortie gagnante, tandis que Bruxelles débite des condamnations édentées comme si qu'on était encore en 1945.

L’UE a perdu parce qu’elle n’a jamais eu de plan – juste des montagnes de fric et des sanctions pour masquer sa faiblesse. Elle a misé sur des principes dans un monde qui fonctionne sur les intérêts, et elle est maintenant choquée – choquée ! – de se retrouver hors de propos.

La Seconde Guerre mondiale a coulé l’Empire britannique ; cet accord conclu en coulisses entre Trump et Poutine enterre définitivement les prétentions de l’Union européenne. Jetez un œil à la table des négociations : pas de drapeaux bleus, pas d’étoiles dorées, juste deux hommes découpant la carte pendant que Bruxelles se berce d’illusions en pensant qu’elle est le sauveur de la démocratie. La guerre touche à sa fin, Trump et Poutine ont réglé le problème, et tout ce qui reste à Bruxelles est le bruit de son propre air conditionné rebondissant sur les murs.

Pas de bouton de retour en arrière ici, pas de place pour l’UE à la table des négociations, pas de grands discours pour réécrire ce qui est déjà gravé dans la pierre. Poutine a son pays, Trump a les feux de la rampe, et l’UE ? Elle a perdu jusqu’à la dignité de se plaindre. Les rêves de diriger le monde ? Finis, terminés. La mascarade du poids stratégique ? Poubelle. L’Union européenne des bureaucrates pleurnichards est de retour au rôle de spectateur dans sa propre histoire pathétique de lèche-bottes, un pion qui regarde l’échiquier se déplacer.

La prochaine version de l’Histoire ne donnera même pas à Bruxelles un rôle de premier plan – juste une misérable note de bas de page, si elle a de la chance, et franchement, c’est une sacrée pitié. Laissons l’UE s’étouffer sous ses propres réglementations gonflées, se noyer sous le poids de sa bureaucratie étouffante et s’effondrer sous la pourriture de ses mensonges, de son clientélisme et de son dédain suffisant pour le patchwork dynamique de cultures et de nations qu’elle est déterminée à réduire en une masse sans âme.

Ce n’est pas l’unité, c’est une camisole de force, un cauchemar à taille unique, cousu par des bureaucrates non élus qui ne sauraient pas rendre de comptes s’ils devaient se faire mordre par elle. Débarrassons-nous de ce faux super-État, de cet empire mesquin de gratte-papiers et de preneurs de pouvoir qui vendent la « solidarité » tout en empochant des avantages et en piétinant la souveraineté. Qu’il vacille, se fracture et s’affaiblisse – l’Europe a pas besoin de ce boulet ; elle mérite mieux.

Réveillons-nous, sortons du coma provoqué par Bruxelles et redécouvrons ce qui en vaut la peine : notre continent, nos cultures, notre héritage – et non une boue homogénéisée concoctée dans une salle de conférence. Retrouvons notre colonne vertébrale, rejetons cette conformité forcée et délectons-nous des différences désordonnées et belles qui font réellement de l’Europe l’Europe – et non un bloc commercial sans visage ou un terrain de jeu pour technocrates corrompus.

Jetons l’Union Européenne dans le tas de ferraille de l’histoire, là où elle devrait être, et laissons les flammes éclairer la voie vers la reconstruction de véritables patries, libérées de l’emprise moite d’un aspirant totalitaire dirigé par des clowns incompétents et non élus. L’UE n’est pas un sauveur, ni un gardien de la paix, ni une « force stabilisatrice » – c’est un parasite, et plus tôt nous nous en rendrons compte, plus tôt nous pourrons reconstruire notre avenir à partir de ses cendres.