23 août 2024

937. La Vaine Lutte des Idéologies


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LA VAINE LUTTE DES IDÉOLOGIES
Comment les globalistes utilisent un côté de la médaille pour inciter les masses à mendier l’autre et pourquoi ils finiront par échouer.

Derrière les vagues agitées de chaque événement socio-économique et politique mondial, une bataille incessante, mais souvent inaperçue, fait rage. Cette guerre n’est pas menée avec des armes traditionnelles, mais avec des récits et des faits, avec une guerre journalistique et des actes individuels silencieux de défi. Il s’agit d’un conflit défini par deux factions, philosophiquement et spirituellement opposées.

D’un côté, un réseau de titans du monde des affaires, d’élites, d’institutions bancaires, de conglomérats financiers internationaux, de groupes de réflexion et de pions politiques. Ils s’efforcent sans cesse de façonner la psychologie publique et la société selon leur vision d’un « nouvel ordre mondial ».

Un monde méticuleusement centralisé, où ils tiennent les rênes de toutes les facettes du gouvernement, du commerce, de la vie et même des valeurs morales. On les appelle les « mondialistes », mais « globalistes » semble plus approprié, un terme qu’ils utilisent parfois pour eux-mêmes, avec une touche d’ironie, pourrait-on ajouter.

L’autre côté est un mouvement qui a émergé de manière organique, spontanée, sans structure de direction hiérarchique. Pourtant, il est subtilement guidé par les exemples donnés par divers mentors et activistes, liés par un ensemble de principes ancrés dans le droit naturel.

Il s’agit d’une coalition diversifiée de religieux, d’agnostiques et d’athées. Il s’agit d’un mouvement de personnes de toutes origines ethniques et financières, unies par une croyance unique et inébranlable en la seule chose sur laquelle ils sont tous d’accord : les droits inhérents et innés à la liberté. On les appellera de manière créative le « Mouvement pour la Liberté ».

Les globalistes, avec leur emprise sur le pouvoir, sont loin d’être les intendants bienveillants de l’humanité qu’ils voudraient nous faire croire qu'ils sont. Leur vision d’un ordre mondial centralisé est une dystopie effrayante, où les libertés individuelles sont sacrifiées sur l’autel du contrôle collectif. Leurs théories économiques, qu’ils présentent comme des panacées aux problèmes mondiaux, ne sont que des outils destinés à consolider le pouvoir et la richesse entre les mains de quelques-uns.

Le Mouvement pour la Liberté, en revanche, est une lueur d’espoir dans cette obscurité croissante. C’est un témoignage de l’esprit humain indomptable qui aspire à la liberté, un rempart contre le raz-de-marée de la globalisation. Ses membres, par leurs actes individuels de courage et de défi, réécrivent le récit de notre époque, remettent en question le statu quo et osent rêver d’un monde où la liberté n’est pas un privilège, mais un droit inné.

Les théories économiques des globalistes, comme l’économie keynésienne, ne sont rien d’autre que des justifications pseudo-scientifiques de la redistribution des richesses et du contrôle centralisé. Ils préconisent des dépenses gouvernementales excessives comme moyen de stimuler la croissance économique, mais cela ne fait que créer de l’inflation, dévaluer la monnaie et accabler de dettes les générations futures. Cela revient à traiter les symptômes d'un patient sans s'attaquer à la maladie sous-jacente, ou pire, en créant de nouvelles maladies dans le processus.

Pendant ce temps, le Mouvement de la Liberté défend la liberté économique, en plaidant pour des monnaies saines, des gouvernements limités et un véritable marché libre. Ils comprennent que la véritable prospérité vient de l’entreprise individuelle et de l’innovation, et non de l’intervention du gouvernement. Ils croient au pouvoir du libre marché de s’autoréguler, d’allouer efficacement les ressources et de favoriser la concurrence et la créativité.

Dans le domaine politique, les globalistes colportent une fausse dichotomie entre gauche et droite, blancs et racisés, hommes et femmes, créant un climat de division et de polarisation. Ils manipulent le spectre politique, dressant les gens les uns contre les autres, tout en maintenant leur emprise sur le pouvoir. C'est un théâtre politique, un spectacle de marionnettes conçu pour détourner l'attention de leur véritable agenda.

Le Mouvement pour la Liberté, en revanche, transcende ces divisions artificielles. Il reconnaît que le véritable pouvoir politique réside dans l'individu et non dans un parti politique ou une institution gouvernementale. Il plaide pour un retour aux principes constitutionnels, pour un gouvernement limité et pour la protection des droits et libertés individuels. C'est un mouvement qui cherche à unir et non à diviser, à responsabiliser et non à contrôler.

Ceux qui croient n’être que de simples spectateurs dans cette guerre, ceux qui ferment les yeux et ceux qui n’en sont absolument pas conscients se trompent tous gravement. Ce conflit touchera tout le monde et ne laissera personne indemne.

Il s’agit d’une guerre pour l’avenir de l’humanité, une lutte qui façonnera le destin des générations à venir. Le résultat déterminera si nos enfants et petits-enfants auront la liberté de choisir leur propre voie, d’atteindre leur véritable potentiel en tant qu’individus, ou s’ils seront enchaînés par une technocratie sans visage et sans âme qui se soucie peu de leurs aspirations et de leurs rêves.

Comme vous l’aurez surement compris, la rédaction de ce blog n'est pas impartiale dans cette bataille. Certains, dans leur arrogance intellectuelle, tentent de considérer ce conflit comme une simple lutte idéologique, accusant les deux parties de chercher à imposer leur vision du monde au reste de l’humanité. Je dirais que ces individus ignorent terriblement les véritables enjeux en jeu.

La guerre entre les mondialistes et le Mouvement pour la Liberté n’est pas une petite querelle de poulailler, mais une lutte pour l’âme même de l’humanité. C’est une bataille entre ceux qui cherchent à contrôler et ceux qui cherchent à libérer, entre ceux qui souhaitent dominer et ceux qui souhaitent donner du pouvoir.

Les globalistes, avec leur programme insidieux, cherchent à créer un ordre mondial qui étouffe l’individualité, la créativité et la liberté. Ils souhaitent imposer une version homogénéisée et aseptisée de la réalité, où la diversité de pensée est découragée et où la conformité est récompensée. Ils se font passer pour des sauveurs, promettant une utopie de paix et de prospérité, mais en réalité, ils n’offrent qu’un cauchemar dystopique de contrôle et d’oppression.

Le Mouvement pour la Liberté, en revanche, défend exactement le contraire. Il défend la cause de la liberté individuelle, du droit de chacun à vivre sa vie comme bon lui semble, à condition de ne pas porter atteinte aux droits d'autrui. Il croit au pouvoir de l’esprit humain, au potentiel de chaque individu d’atteindre la grandeur, si seulement on lui donne la liberté de le faire.


LE GLOBALISME CONTRE LE "POPULISME"
Les globalistes emploient depuis des siècles la tactique des fausses dichotomies, divisant les nations et les peuples les uns contre les autres pour tirer profit du chaos qui s’ensuit. Cependant, la dichotomie susmentionnée est peut-être la plus proche d’une véritable division.

L’approbation passée du référendum sur le Brexit au Royaume-Uni, ou l’élection de Donald Trump, avait déclenché une vague de propagande de la part des médias de masse. Le message sous-jacent était que les « populistes » sont derrière l’opposition à la globalisation et qu’ils entraîneront la chute des nations et de l’économie mondiale. En d’autres termes, le globalisme voudrait être synonyme du bien, le populisme serait synonyme du mal. (OTAN = axe du bien, BRICS = axe du mal)

Il existe en effet une véritable lutte entre les globalistes et ceux qui luttent pour une société libre, décentralisée et volontaire. Ils ont simplement modifié certaines étiquettes et la terminologie. L’efficacité de cette stratégie pour les élites reste à démontrer, mais elle sert leurs objectifs à certains égards.

L’utilisation du terme « populiste » est aussi cliniquement éloignée de celle du terme « liberté » que possible. Cela impliquerait non seulement un « nationalisme », mais une forme égoïste de nationalisme. Et le lien que les globalistes espèrent faire est que le nationalisme égoïste mène au fascisme destructeur (c'est-à-dire au nazisme). Ainsi, lorsque vous entendez le terme « populiste », ils veulent que vous pensiez « nazi ».

Il faut également noter que le récit de la montée du populisme coïncide avec les terribles avertissements des élites selon lesquels de tels mouvements déclencheraient un effondrement économique mondial s’ils continuaient à prendre de l’ampleur. Bien sûr, les élites orchestrent depuis des années un effondrement économique, et nous en ressentons déjà les effets depuis un certain temps. Dans une démarche astucieuse, les élites ont tenté de requalifier le mouvement pour la liberté de « populiste » (nazis) et d’utiliser les militants pour la liberté comme boucs émissaires de la crise financière qu’ils ont provoquée.

Le public va-t-il complètement se laisser prendre au piège ? C'est pas si sûr que ça. Cela dépendra de l’efficacité avec laquelle nous exposerons leur stratégie avant que l’effondrement ne devienne trop profondément enraciné. Les élites ont toutefois géré l’effondrement économique de manière experte.

Il n’existe aucune solution qui puisse empêcher que cela se produise. Même si tous les criminels globalistes piqouzeurs étaient traduits en justice demain et si un leadership honnête était rétabli au sein des gouvernements, les chiffres ne peuvent pas être modifiés et des décennies de lutte seront nécessaires avant que les économies nationales puissent à nouveau prospérer.

COMMUNISME CONTRE FASCISME
Il s’agit là encore d’une autre machination des globalistes, une stratégie astucieuse visant à fracturer les sociétés et à provoquer le chaos, qu’ils peuvent ensuite exploiter pour leur programme de contrôle centralisé. Si vous nourrissez un quelconque scepticisme quant à la nature artificielle du fascisme et du communisme, plongez-vous dans les recherches méticuleusement documentées d’Antony Sutton. Ses conclusions sont trop vastes pour être résumées de manière adéquate ici, mais elles méritent certainement votre examen.

Dans le paysage contemporain, nous voyons des élites comme George Soros financer et encourager la dernière manifestation des forces communistes, incarnées dans des groupes de justice sociale tels que Black Lives Matter. La frénésie collectiviste et la conduite orwellienne affichées par ces entités obsédées par la race, notamment le BLM et les féministes de la troisième vague, provoquent une sévère réaction de la part des conservateurs. Ces individus, las de se faire dicter sur chaque sujet et à chaque instant, atteignent leur point de rupture. Et ceci, mes amis, est l'objectif même...

Pour comprendre l’état de l’Amérique en 2024, il suffit de revenir sur l’Europe des années 1930 tumultueuses. Le continent a été envahi par des agitateurs communistes, certains authentiques, d’autres fabriqués par l’establishment lui-même, provoquant des troubles ouvriers et une instabilité budgétaire. Les élites ont alors parrainé et promu le fascisme comme antidote au communisme. Même les conservateurs les plus modérés, poussés au bord du gouffre par la provocation incessante des communistes, se sont transformés en quelque chose de tout aussi monstrueux en réponse.

L'Occident pourrait se retrouver au bord du même précipice si nous ne faisons pas preuve de prudence. Les fusillades au Texas ou les émeutes en Grande-Bretagne constituent une occasion idéale pour les globalistes de faire avancer leur programme. Considérez ceci un instant : Aux USA, d’un côté, les présidents démocrates exhortent les libéraux à contrer la brutalité policière en fédéralisant davantage l’application de la loi. De l’autre côté, certains républicains soutiennent qu’une présence policière plus militarisée est la solution pour empêcher des groupes comme BLM de provoquer de nouvelles perturbations. Remarquez que la seule solution proposée est une présence fédérale accrue dans les rues américaines ?

Cependant, il y a une faille importante dans le plan des globalistes visant à orchestrer une confrontation entre communistes et fascistes aux États-Unis, et cette faille réside dans l’existence du Mouvement pour la Liberté. Le mouvement a considérablement mûri dans sa présence et son influence médiatique. Il exerce désormais suffisamment d’influence pour neutraliser certains aspects de la montée du sentiment fasciste au sein de la droite politique.

La seule option viable pour les élites est de coopter le Mouvement pour la Liberté. S’ils parvenaient à manipuler les partisans de la liberté pour qu’ils soutiennent un système fasciste, ils seraient sur le point de remporter une victoire totale. Cependant, ce scénario est hautement improbable étant donné l’adhésion inébranlable des défenseurs de la liberté à leurs principes.

Les élites pourraient réussir à persuader une large partie du public de s’aligner sur leur faux paradigme, mais si elles ne parviennent pas à piéger les millions de personnes qui constituent le Mouvement pour la Liberté, leur tâche devient exponentiellement plus difficile.

BOUSSOLE MORALE CONTRE RELATIVISME MORAL
Les globalistes cherchent à promouvoir le relativisme moral comme moyen de contrôle, dans l’espoir de créer une société facilement manipulable et facilement gouvernable. En supprimant les fondements du bien et du mal, ils visent à créer un monde dans lequel leurs désirs et leurs programmes tordus peuvent s’épanouir sans contrôle. Cependant, la conscience humaine inhérente constitue un formidable obstacle à leurs projets.

La conscience n’est pas le produit d’un conditionnement social ou de normes culturelles, mais plutôt un aspect intrinsèque de la psyché humaine. C'est la voix intérieure en nous qui nous guide vers le bien et nous éloigne du mal. Il ne s’agit pas d’une zone grise ouverte à l’interprétation, mais d’une boussole qui nous oriente vers la vérité. Les globalistes cherchent peut-être à brouiller notre jugement et à confondre nos sens, mais ils ne peuvent pas effacer notre conscience.

La notion de relativisme moral est non seulement peu pratique, mais aussi dangereuse. Le Relativisme Moral cherche à effacer la frontière entre le bien et le mal, créant un monde où le mal peut se faire passer pour le bien. C’est une idéologie insidieuse qui cherche à saper notre moralité et à corrompre nos âmes. Les globalistes ont beau le promouvoir comme un moyen de progrès, ce n’est rien d’autre qu’un outil de contrôle.

L’idéologie du relativisme moral est peut-être répandue dans notre culture populaire, mais elle n’a pas encore pleinement pris racine. Cela témoigne de la force de la conscience humaine et de notre désir inné de justice et de vérité.

Vidéo illustrant le propos sur le relativisme moral
A l'invitation de GPTV et animée par Mike Borowski, une présentation-débat de la situation avec Jean-Maxime Corneille,   Marc Daoud (Nexus) et Jean-Luc Robert, psychologue.
Tout le monde sur le pont ! C'est le sort de l'humanité qui est en jeu.
Réduction de la population, élimination des faibles, destruction de l'enfance et de la famille par la perversion généralisée. Le plan annoncé en 1969 se déroule imperturbablement.
Il faut l'arrêter.

COLLECTIVISME CONTRE INDIVIDUALISME
Essentiellement, le principe fondamental du globalisme est le sacrifice de la souveraineté et de l’individualisme pour le plus grand bien du collectif. Cependant, la nature même des groupes est abstraite et n’existe que tant que les individus qui les composent les reconnaissent comme viables.

Les élites doivent persuader les gens que l’individualisme constitue une menace et que le collectivisme est la seule solution pour éviter les désastres provoqués par ceux qui aspirent à l’indépendance. Pourtant, la plupart des calamités auxquelles nous sommes confrontés à l’échelle nationale ou mondiale sont orchestrées par les élites, et non par des individus voyous ou par des nations souveraines. Ils utilisent ensuite ces crises pour vilipender la notion même de souveraineté, la qualifiant de relique barbare du passé qui doit être éradiquée.

Pour renforcer la nécessité du collectivisme, les globalistes doivent interagir avec les gens sur le plan psychologique. Si les humains ont un désir inné d’interagir avec leurs semblables, ils possèdent également une identité inhérente et une volonté de poursuivre leur propre croissance sans interférence. Les gens aiment faire partie d’un groupe à condition que leur participation soit saine, volontaire et basée sur un choix.

Cependant, les humains sont intrinsèquement tribaux, avec des limites psychologiques et biologiques quant à la taille de la tribu qu’ils préfèrent. Le professeur Robin Dunbar, un éminent psychologue évolutionniste des années 1990, a découvert une limite cognitive au nombre d'individus avec lesquels une personne peut entretenir des relations stables. Ce nombre varie de 100 à 200 personnes. De même, il existe une limite à la taille des groupes efficaces par rapport aux groupes inefficaces, les tribus et communautés efficaces comptant généralement entre 500 et 2 500 personnes.

L’esprit humain ne s’adapte pas bien aux vastes groupes tribaux, et l’idée d’une « tribu mondiale » se heurte à une résistance. Les gens fonctionnent mieux dans des groupes plus petits et n’apprécient pas d’être obligés de participer à un groupe, en particulier aux plus grands.

Cela peut expliquer le sentiment d'isolement ressenti par les habitants des zones urbaines, bien qu'ils soient entourés de millions de voisins et de centaines d'associés. Ils se sentent toujours seuls parce qu’il leur manque une tribu fonctionnelle d’une taille acceptable.

Même si un grand nombre de personnes peuvent être unies par un idéal cohérent, qui est la principale raison pour laquelle les nations se forment, c'est là l'étendue de l'association volontaire. Le collectivisme globaliste va à l’encontre de la nature humaine. Les gens le reconnaissent instinctivement comme un acte de force et de répression, et résisteront inévitablement à son faux tribalisme à mesure qu’ils commenceront à voir sa vraie nature.

CONTRÔLE TOTAL VS RÉALITÉ
La quête d’un contrôle total menée par les globalistes est non seulement irréalisable, mais aussi fondamentalement erronée. L’objectif d’un microcontrôle complet est mathématiquement et psychologiquement impossible, et leur quête délirante engendre la faiblesse.

Le principe d'incertitude de Heisenberg illustre ce problème, car il stipule que quiconque observe un système en action peut toujours affecter le comportement de ce système indirectement ou inconsciemment d'une manière qu'il ne pourrait jamais prédire. Cette limitation entraîne des quantités inconnues, rendant la prévisibilité impossible et le contrôle total du système inaccessible.

Ce principe s’applique également à la psychologie humaine, comme l’ont découvert les psychanalystes en traitant des patients. Comme en physique quantique en observant des photons, l'observateur ne peut jamais observer son patient sans affecter indirectement son comportement de manière imprévisible. Par conséquent, une analyse totalement objective de ce patient ne peut jamais être obtenue.

Ce que recherchent les élites, c’est un système grâce auquel elles peuvent nous observer et nous influencer dans les moindres détails sans déclencher une réaction à laquelle elles ne s’attendraient pas. Cependant, les lois de la physique et de la psychologie rendent ce niveau de contrôle impossible. Il y aura toujours des quantités inconnues, des radicaux libres et des jokers qui peuvent faire tomber même une utopie apparemment parfaite.

En outre, la preuve d'incomplétude de Kurt Gödel fournit une explication mathématique de la lutte des élites contre des quantités inconnues et de leur inévitable échec. Les travaux de Gödel ont prouvé que l'infini est un paradoxe inclusif qui ne peut être défini par les mathématiques.

Bertrand Russell, globaliste bien connu, a travaillé sans relâche pour montrer que l’univers tout entier pouvait être décomposé en nombres. Cependant, les efforts de Russell furent vains et la preuve de Gödel écrasa plus tard sa théorie. Russell s'est opposé à la preuve de Gödel, mais en vain.

La preuve mathématique de Gödel a détruit le noyau même de l’idéologie globaliste, prouvant que les aspirations globalistes à la divinité ne se réaliseraient jamais. Il y a des limites à la connaissance de l’homme et des limites à ce qu’il peut contrôler. C’est quelque chose que les globalistes ne pourront jamais accepter, car s’ils le faisaient, tous les efforts qu’ils ont déployés depuis des décennies, voire des siècles, seraient inutiles.

Le problème est celui de quantités inconnues. La société humaine pourra-t-elle un jour être entièrement dominée, ou l’acte de rébellion contre les systèmes oppressifs fait-il partie de la nature ? L'attention constante de l'establishment à l'idée du « loup solitaire » et aux dégâts qu'une personne agissant en dehors des diktats du système peut causer suggère que les élites craignent les réactions imprévisibles qui pourraient miner leur autorité.

Le véritable pouvoir de façonner ce monde a toujours été entre vos mains. Choisissez bien !

C’est pourquoi les globalistes sont voués à perdre. Ils ne pourront jamais connaître toutes les inconnues. Ils ne pourront jamais contrôler tous les radicaux libres. Il y aura toujours de la rébellion. Il y aura toujours un mouvement de liberté.

L’intégralité de leur schéma utopique tourne autour de la nécessité d’éliminer les inconnues. Cependant, le contrôle à ces niveaux est si fragile qu’il devient inutile et mortellement dangereux.

Dans leur arrogance, ils ont ignoré les avertissements des sciences mêmes qu’ils vénèrent et ont gravé leur fin dans le marbre. Même s’ils peuvent laisser un chemin de destruction considérable dans leur sillage, c’est déjà écrit ; ils ne gagneront pas et ils perdront.

Traduit et republié depuis A lilybit.com avec la permission de l'auteur ou de son représentant