23 juil. 2023

794. Une histoire de Blob: La Chute



UNE HISTOIRE DE BLOB: LA CHUTE

"S'il n'y avait pas de doubles standards, ces enculés de progressistes-mondialistes n'auraient aucun standard du tout." 

Vous le savez peut-être pas en ces jours paresseux, parfois chauds, parfois plus frais, souvent secs autant que pas secs du milieu de l'été, mais les choses deviennent assez incontrôlables dans la république américaine. 
Robert F. Kennedy, Jr. a fait exploser le Parti démocrate avant-hier lors de l'audience du sous-comité de la Chambre sur la militarisation du gouvernement, agissant comme un humain normal tout en étant attaqué par un troupeau de harpies criant désespérément "Russie, Russie, Russie", comme si que ça signifiait plus rien. Il les a qualifiés de pires que les McCarthyites des années 1950, a réprimandé leurs grossièretés insensées soutenant la censure et les a laissés dans un état de disgrâce terminale.

Il se trouve qu'il se présente à l'investiture de ce même parti démoncrate qui s'assomme pour le détruire. Pour gagner ce gros lot, il va devoir soumettre un millier de démoncrates de premier plan à un acte exténuant de repentance et de contrition - et vous devez alors vous demander : qui voudrait même gagner le soutien de créatures aussi viles que Debbie Wasserman Schultz, de Jerrold Nadler et surtout d'Adam Schiff, et encore moins être associé à eux dans le même club d'enculés de première ?

Ailleurs autour de la scène cette semaine, on a les singeries de plus en plus dégénérées du FBI alors que les dénonciateurs sortent des fourrés révélant la pourriture derrière le réalisateur Chris Wray et son patron l'infâme et insipide Procureur Général Merrick Garland. 
Ce Blob glouton, empli de turpitude du Deep State, a grandi et s'est infecté avec tant de dissimulations qui se chevauchent qu'ils ont plus assez de carpettes pour balayer leurs crimes sans parler de leurs merdes à la puanteur si pestilentielle qu'elle passerait de toutes manières sans la moindre difficulté à travers la trame la plus serrée du plus perçant épais des tapis persans. 
Les méfaits massifs d'Hillary Clinton à Skolkovo, la Silicon Valley moscovite et avec Uranium One, branche du groupe nucléaire russe Rosatom, ont ouvert une voie directe à travers le coup d'État ukrainien de 2014, au RussiaGate, à l'opération mondiale de trafic d'influence de la famille Biden et à tous les actes mensongers entre les deux, y compris les mensonges de la FISA, le piège du 06 Janvier, des centaines de poursuites malveillantes et trompeuses, la fraude Covid-19, la censure et la tyrannie médicale,

Et qui c'est qu'a eu l'idée brillante, de toute manière, d'installer cet escroc dégoûtant et incompétent nommé "Joe Biden", comme chef d'État ? Ils savaient sûrement bien avant 2019 que son fils, le convoyeur de fonds, extirpait des pots-de-vin en Ukraine, en Chine et ailleurs, en même temps qu'il fréquentait des putes et trafiquait des gosses tout en détruisant son cerveau avec du crack et en buvant un demi-litre de vodka par jour. 
Et on nous raconte que la CIA et le FBI étaient au courant de rien de tout ça, même avant octobre 2019 lorsque l'ordinateur portable de Hunter bourré de preuves graphiques, plus salaces les unes que les autres, leur est tombé entre les pognes ? S'ils savaient rien de tout ça, alors à quoi que ça sert d'avoir une communauté du renseignement ?

Je suppose que c'était l'idée à Obama de coller "Joe Biden" à la Maison Blanche dans le vain espoir d'utiliser ce criminel captif pour éviter toute responsabilité pour les saloperies susmentionnées qui se sont produites pendant les deux mandats de cette pédale mariée à une femme à bite. La mission était à l'origine celle d'Hillary Clinton – elle-même avait beaucoup en jeu – mais elle a bâclé le boulot en 2016 en permettant à Supertramp Trump de se glisser à la 1ère place du Hit-Parade. C'est marrant de regarder en arrière et de voir comment que le puissant Blob glouton s'est figé après cette élection - comme un macrophage géant - pour encercler et éliminer Trump, qui savait apparemment pas pendant de nombreux mois à quoi il était confronté : toute la bureaucratie permanente de l'état profond mondialiste. De toute évidence, le Blob n'a réussi qu'en partie à désactiver Trump, qui a travaillé assidûment depuis 2021 pour rassembler la plus grosse moitié du pays de manière militante contre le Blob glouton et son Blobisme,

Le problème, c'est que le Blob lui-même est devenu un trouble immunitaire pour le régime connu sous le nom des USA, et menace maintenant de détruire tout ce que le pays représente et tout ce qui est déployé sur le paysage d'un océan à l'autre, si les bombes nucléaires hypersoniques venaient à prendre leur envol je veux dire. Ce sont des semaines dangereuses à venir. La pédale est au plancher… le caoutchouc chauffe sur le bitume, et nous semblons assister à un dénouement de type Thelma et Louise version maousse..

Le Blob lui-même, avec le Parti démoncrate en son noyau, et les organites maléfiques Mitch McConnell, Lindsey Graham et leurs semblables flottant dans le réticulum endoplasmique, est devenu fou en tentant de protéger son précieux trophée de bowling sacré du libéralisme, Barack Obama pour pas le nommer, de tout examen . 
Appeler Obama à rendre des comptes, bien sûr, serait considéré comme l'acte ultime du "racisme suprémaciste blanc" américain, un endroit où trop de gens ne souhaitent pas aller de peur de s'y piquer. Ainsi, il peut échapper à la responsabilité jusqu'à ce qu'il (et le reste des américains) soit parti et que l'histoire le rattrape.

Mais se doute-t-on désormais que " Joe Biden " doit partir, et le plus tôt possible ? Il y a sûrement suffisamment de preuves pour organiser une destitution à la Chambre et la relancer aussi rapidement que les démoncrates ont accéléré leurs deux destitutions de Trump. 
Une destitution forcerait, bien sûr, un procès au Sénat. C'est probablement le seul événement d'actualité que le New York Times , le Washington Post, et CNN ne peuvent pas fuir - comme ils se sont planqués lors des audiences de dénonciation de cette semaine et de la solide performance de Robert.F. Kennedy contre les militants de la censure de la Chambre. 
Dans un procès au Sénat, la pourriture sera finalement exposée devant le peuple pour la juger, que le Sénat se résolve à condamner "Joe Biden" ou non. 

Quoi qu'il en soit, ça mettra fin à la prétention de ce président gâteux et criminel en plus d'être traître, de se présenter à la réélection, et au cas où qu'il serait condamné, ses pouvoirs de grâce ne s'étendent pas à cette procédure extraordinaire du Sénat. 
Puis il sera temps de s'occuper de la Kamala Harris et pourquoi pas ensuite de ses mères maquerelles, la Clinton et la Pelosi...