24 mai 2023

770. Nuages noirs sur l'UkroNaziland

 
Nuages noirs sur l'UkroNaziland
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Après l'éviction de Donald Trump en 2020, cette nouvelle-nouvelle-gauche avait exactement ce qu'elle réclamait, un démocrate libéral sénile à la Maison Blanche. Étant donné le sentiment de catastrophe imminente à l'heure actuelle, il peut être difficile de se rappeler précisément combien de conneries pleurnichardes ont été nécessaires pour vendre Joe Biden. 

Z'avez remarqué que le président de l'Ukraine - ou le gouverneur du cinquante et unième État américain, on peut voir ça comme ça aussi -, Mr. Zelensky, parcourt le monde depuis des semaines : Londres, Helsinki, Paris, les sables d'Arabie, Hiroshima ? C'est parce que c'est un de ces mois où que c'est les années qui se succèdent ; le monde change à vitesse grand V. 
Le pauvre Volodymyr semble avoir la trouille, un peu, essayant de garder une longueur d'avance sur l'évolution du jeu. Ce qui semblait être une excellente idée pour une certaine clique de soi-disant néo-conservateurs aux USA - utiliser l'Ukraine comme un piège à ours - a au contraire révélé assez soudainement les multiples faillites de l'Europe et de l'Amérique et a révolté tout le reste du monde en dehors de la civilisation occidentale. Putain de cocktail d'émerveillement et de nausée !

Faiblis pas, Volo, y a plein d'enculés qui comptent que sur toi !

Essayez d'imaginer la situation difficile du père Zelensky. La puissante Amérique et la redoutable Europe ont fait croire à l'ancien comédien qui jouait du pipeau piano avec sa queue que s'il acceptait un plan génial pour ruiner la Russie et éliminer Vladi Poutine du plateau de jeu mondial, son triste pays serait transformé en quelque chose comme UkroDisney, alors que lui, Mr. le Zélé, serait adulé et enrichi au-delà de ses rêves les plus fous. Sa police d'assurance étant la plus grande puissance hégémonique et militaire que le monde ait jamais connue. Le jeu s'appelait "Combattez jusqu'à la mort et faites-moi savoir quand que c'est fini".

Le pauvre couillon d'abruti s'est laissé prendre au jeu. Il a laissé l'OTAN (c'est-à-dire les États-Unis) mettre en place, équiper et former la plus grande armée d'Europe, englobant des bataillons complets de durs à cuire ukro-nazis - qui avaient déjà été si utiles dans la révolution colorée de 2014 parrainé par les États-Unis. Maïdan " un coup d'état déguisé en révolution colorée ", une de plus après celles de Roumanie et des printemps arabes. Mr. le Zélote a suivi à la lettre les ordres du Département d'État américain de faire pleuvoir des roquettes et de l'artillerie lourde sur les russophones qui vivaient tranquilles-peinards dans ses propres provinces orientales du bassin du Don. Il a officiellement demandé son adhésion au club de l'OTAN et à la table des capos de l'UE pour services rendus. Son pays a reçu des milliards de dollars américains et d'euros européens sans surveillance ni sans audit, ne demandant pas mieux que d'être écrémés par les nouveaux dirigeants de son entourage – qui, après tout, méritaient bien un petit pourboire pour tous ces événements. Qu'est-ce qui pourrait mal se passer qui tournerait pas rond ?

Ainsi, le monde occidental a lancé la plus grande guerre de haute intensité d'Europe depuis les années 1940. C'est alors qu'en février 2022, un certain Mr. Poutine en a eu assez de ces magouilles et de ces bruits de bottes sur son pas de porte et a envoyé une équipe de nettoyage. Jeu assuré ! Les néo-conservateurs américains étaient prêts à alimenter d'innombrables troupes ukrainiennes dans un hachoir à viande qui, théoriquement, épuiserait la volonté et les ressources de l'exécrable ours des steppes et apporterait d'innombrables avantages renforçant la position occidentale dominante dans le monde. Et les malheureux "partenaires" européens de l'OTAN ont accepté le programme comme des cons, bien qu'il leur ait demandé de commettre un suicide économique pour le plus grand bien de l'alliance (ou quelque chose dans ces eaux là). Quoi qu'il en soit et quel qu'en soit le coût - quoi qu'il en coûte selon la formule du poudré sodomite de l'Elysée - , ces petits merdeux d'européens n'avaient pas besoin de ce sale gaz naturel russe qui puait du cul. Ils se tournaient déjà tous vers un monde "vert où vous ne posséderez rien mais serez heureux" (Klaus Schwab l'a exigé, n'est-ce pas ?) 

Pendant ce temps, depuis 2016, les citoyens américains ont été préparés à la perfection par le complexe industriel de la propagande américaine criant "Russie, Russie, Russie", à la demande de la leader d'opinion, je veux parler de la putasse d'Hillary Clinton, une future présidente qui ne sera heureusement jamais élue malgré la triche. Les médias ont exigé la crucifixion de son adversaire, papa Trump, qui avait nonchalamment avancé l'idée odieuse que les États-Unis et la Russie pourraient cultiver une relation amicale prospère, vu que l'ours ne battait plus le drapeau rouge frappé d'un marteau et d'une faucille. Ouiiiii !!! Il a vraiment dit ça !

Eh bien, les gens qui dirigent les choses en Amérique – c'est-à-dire les dizaines de satrapes bureaucratiques non élus gardant leurs nids à portée de vue de la Maison Blanche, en particulier le panier de crabes poliment connu sous le nom de communauté du renseignement – ont décidé de soumettre le mec Trump à une version pour un seul homme du tourment exquis destiné à la Russie, la Russie, la Russie : douleur, ignominie et ruine. Ils y sont encore sept ans plus tard, puisque l'acharné Donald n'abandonnera pas sa croisade pour reprendre la Tour Blanche et défenestrer tous ceux qui ont voulu le défenestrer lui. Ses ennemis ont capturé tous les pions et leviers du pouvoir légal, et pourtant, étonnamment, ils ne peuvent proposer que les accusations les plus invraisemblables pour le traîner dans les juridictions capturées et aux ordres.

Ce conflit politique interne aux États-Unis a rendu la population folle, alors qu'il a rendu les institutions rances et a laissé ses sujets sujets - excusez la répétition, pas trouvé mieux - à une pathocratie se cachant derrière un directeur général ridiculement faux. Après plus d'un an de plan génial de l'Amérique pour maintenir sa domination mondiale, la Russie réussit très bien, merci spassiba, à construire un cadre géo-économique pour le commerce qui ne sera pas soumis aux farces de la civilisation occidentale dirigée par les États-Unis. La Russie est une nation de personnes qui se considèrent ni comme des licornes ni comme des transwokistes mais comme des hommes et comme des femmes, les labeurs de la confusion des sexes heureusement absents. Tout comme y sont absentes les Ponzis bancaires.

Après plus de deux ans de "Joe Biden", ben ce pays contourne l'étape de dissolution et de dépravation d'une république bananière et se dirige rapidement vers une dystopie mode Jérôme Bosch de ruine financière, sociale, psychologique et morale. Chaque déclaration officielle est un mensonge éhonté. Tout est cassé ou brisé. Et apparemment, c'est voulu. La question lancinante, bien sûr, est de savoir pourquoi donc et à quelle fin ?

Ciao Bakhmut, hello Artiomovsk !

Et pourquoi le père Zelensky est-il passé d'un pays à l'autre pendant tout ce joli mois de mai ? Parce que le jeu du combat à mort touche à sa fin et que Mr. Le Zélé pourrait se retrouver mortellement impopulaire à l'intérieur même de ses nouvelles frontières qui se sont et vont continuer à se réduire comme peau de chagrin. Il a réussi à envoyer entre cent et trois cents mille - on sait pas trop selon les sources - jeunes hommes ukrainiens à la mort dans le piège du hachoir à viande que leur ont tendu les stratèges de la Sainte Russie, pendant que peut-être un million d'autres ont fui pour d'autres pays afin d'échapper au carnage et de pas se retrouver transformés en steaks hachés. L'Ukraine sera désormais une terre composée principalement de femmes, de gosses et de personnes âgées - avec tout juste assez de soldats survivants qui chercheront à traquer le comédien qui aura transformé l'Ukraine en une autre des sales blagues malsaines de l'histoire.

Alors, tu les bouges tes pions ou quoi, Volo ?