25 mai 2008

322. Après la teuf des mères, on peut rêver à celle des pères!


Marylou a toujours eu de supers réflexes. Y a qu’à observer ses réactions hystériques si j'ai le culot de pas lui présenter ses cadeaux Prisunic le matin de la fête des mères. Parlons de la mienne à venir pour illustrer le propos, même si je serai en bas de l'Angola à ce moment là :

Pour la fête des pères, Marylou aura probablement décidé de m’inviter, moi et les petits, au restaurant. L’endroit choisi ressemblera à une vieille longère retapée mais elle en aura entendu dire le plus grand bien, nourriture appétissante et atmosphère chaleureuse, ce que je ruinerai complètement dès que nous aurons pénétré dans l'établissement.

- L’hôtesse : (Jupe crème plissée, yeux de Sharon Stone, blouse saumonée, lache et translucide, corps de Bellucci et escarpins aux talons aussi hauts que la Tour d’Argent) "Bonjour madame, bonjour monsieur ! Soyez les bienvenus. Combien de couverts, je vous prie?"
- Moi : (Battleshort, tee-shirt noir, baskets) : "Euh… quatre, mais si vous êtes libre, je peux renvoyer les trois autres..."
- Paf !
- Moi : "Aïeuh !"

Même ce jour là, Marylou aura toujours des réflexes de chatte siamoise.