5 sept. 2007

267. Un peu de pub


À tous ceux qui aiment zieuter ce côté sombre de l’internet – Bienvenus ! Je suis pas vraiment en position pour vous offrir des doses régulières à chaque coups, mais je me suis dit que je pourrais le faire de temps en temps. Juste pour vous faire plaisir un tout petit peu...


Mais surtout, je voulais espliquer à ceux d’entre vous qui sont des voyeurs, que je suis pas resté à me branler dans ma baignoire, à sucer des carambars ou à me chatouiller divers appendices.
Non messieurs-dames.
D’abord, et d’une, sachez que je n' aime pas les carambars. Non, je les aime pas ces saloperies.
Je les adoooore. Mais si je devais quand même faire du stop, je me ferais une transexuelle brésilienne. Elles sont si belles. Les Trans sont vraiment les nec mecs plus ultra qui font raidir le sexe masculin même si trop peu nombreux sont ceux qui admettent de l’admettre en leurs mois profonds.  Non, je déconne.
Les lapins blancs aussi d’ailleurs.

J’ai bien peur d’y avoir beaucoup réfléchi. Et ceci m’affole autant que vous, les mecs filles. Mais bon, passons...
Mais le truc, c’est que j’ai été assez occupé dernièrement, et une partie de cette occupation a été consacrée à l’écriture. Écriture que je pointe avec défiance vers vos yeux exorbités quand l’envie m’en prend de vous titiller les neurones.
Alors comment je fais ça à votre avis ? Vous matez ma main droite – et illico prestement – vlà que se pointe le lapin dans ma main gauche ! Ou bien je l’extrais de votre oreille, ou d’un Gibus, ou d’un moule à gaufre ou d’autre chose.
Il n’y a que peu d’endroits où je consentirais à me bourrer un lapin, même si ce n’était que pour un tour de magie hypothétique
Mais revenons à l’écriture et mettons de côté le sevrage des lapins pour l’instant, vous voulez bien ?
Bien.


D’abord, dans un passé récent mais pas tant que ça, j’avais écrit un
pavé qui pèse toujours lourd côté larfeuille. Bref, résultat, il ne se vend pas. Même si on m’en a dit pas beaucoup de bien pas que du mal. 

Beaucoup de mots dans ce rumsteak parlent de mon environnement, le maritime, je veux dire, et l’africain accéssoirement. Trop de digressions, peut-être…
Bah ouais, je peux pas m’en empêcher, surtout quand je prends mon temps. Alors j’ai décidé de changer d’éditeur pour faire baisser le prix de vente, grimper les ventes et augmenter la taille de mes bas de laine. 
Pasque pour rien au monde ne devez vous rester à l’écart de ce truc fantastique pondu dans l’unique but d’améliorer votre vision. Si la réflexion est votre truc, courez vite chez votre boucher acheter ce pavé, sinon retournez vous sur les épinards au marché du coin.
Mais pas pendant vos heures de boulot, okay ? C’est une partie de ma vie, pas l’intégrale notez bien, et si vous dîtes le contraire à mon armateur, je vous ferai convoquer au conseil d’administration et vous botterai le cul devant tout le monde.
Cul nu.
Ah, mon bouquin est aussi disponible ici sur Amazon et ici à la Fnac

Vous pourrez dire ce que vous voudrez mais c’est d’amour sidéral et de meurtres en masse que je cause dans ce bouquin. Et ouais, je sais pas me tenir.
Pour finir, je vous demanderai de pas faire l’école buissonnière, de pas fréquenter les lapins de Garenne et d’aller fissa lire le blog d’amarilaure que j’adore plus qu’aucune autre au monde sauf à part bien sûr, ma Marylou.