18 avr. 2006

152.Pour mettre fin aux attentats suicides...

Encore un attentat hier tout près de Tel Aviv. Neuf morts, une soixantaine d'estropiés. Mais n'ont ils donc rien compris? Le font ils exprés? Ont-ils besoin d'un tuyau? Faut-il qu'on leur explique, qu'on leur donne des indices?
Le principal problème à mon avis, c’est les burkas, les kéfieh et les djellabas. C’est vrai que ces vêtements sont parfaits pour planquer des bombes. Mais ôtez les robes et les djellabas et y a plus de place pour planquer ces engins de mort. Spécialement si vous les remplacez par des tenues moulantes genre celles dont sont équipés les équipes de danse du mime Marceau. Ces tenues ne peuvent rien cacher, ni couteaux, ni révolvers, ni épingles à cheveux, même pas une érection ou un début de grossesse, alors une bombe, pensez-donc !

Le problème, c’est de convaincre les palestiniens de changer de look. Peut-être qu’en voyant certains de leurs coreligionnaires se balader dans ces tenues moulantes aux couleurs chatoyantes et lustrées, peut-être que le gros des palestiniens et palestiniennes regarderaient plus intensément et à deux fois à l’intérieur de leurs burkas en se demandant se que foutent leurs têtes dans le fond d’un sac de toile. 
Il y a une chose de sure pourtant : S'ils se débarrassaient de leurs voiles, de leurs tchadors, de leurs burkas, de leurs kéfieh et de leurs djellabas et partaient se balader sur les trottoirs en tenues moulantes, ils nous paraîtraient soudain immensément plus beaux, d’abord parce qu’ils le sont surement, mais plus important encore, les sionistes pourraient plus mettre en doute le fait qu’ils seraient désormais totalement inoffensifs. 
Jamais aucun israélien n’a réfléchi à ce sujet jusqu’à très récemment, mais pourtant ils se demandent tous qui va être le prochain à qui l’un ou l'une d’entre eux va exploser à la gueule. Peut-être cela réconfortera t’il les palestiniennes vêtues de ces nouvelles tenues si je leur dis que pratiquement personne ne les reconnaîtrait dans les artères de mégalopoles telles que Tel Aviv ou Jérusalem même si elles ressentent encore un peu d’inconfort à braver les ordres de leurs imams ou de leurs maris. 
Une autre alternative serait de rendre aux Palestiniens ce qu’on leur a volé en 48.