17 juin 2025

1061. Qui nous possède ?

 


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QUI NOUS POSSÈDE ?
Le grand manège de l’esclavage fiscal : on est coincés, mes frères !
Et ouais, toujours la même galère

Le système de fric et de dettes, c’est une arnaque géante qui nous fait trimer comme des hamsters dans leurs roulettes en cage. Les méga-banques, ces vautours en costard, nous tiennent par les couilles, vous, vos familles, et même des pays entiers. Bienvenue dans l’esclavage 2.0, où vous bossez pour engraisser des gros richards !

Personne nous apprend ça à l’école, hein ? Ni à la fac, ni à la télé. C’est pas un bug, c’est fait exprès. Si vous avez pas pigé comment ces rapaces manipulent le fric, vous êtes juste des pions dans leur Monopoly mondial. Les gouvernements ? Ils sont noyés dans des dettes tellement énormes qu’on dirait un film catastrophe. Et pendant ce temps, une poignée de gros bonnets siphonne tout : votre taf, vos ressources, la planète. Jackpot pour eux, galère pour nous.

Le Produit Intérieur Brut (PIB), ce dieu en carton
Pourquoi tout le monde s’excite sur la croissance du PIB comme si c’était la solution à tout ? Parce que c’est la carotte qui fait avancer l’âne (vous, au cas où que vous auriez pas suivi). Sans PIB qui grimpe, le système s’écroule comme un château de cartes. Pourquoi ? Parce que tout repose sur un truc chelou : l'argent-dette. Les banques balancent du crédit comme des dealers, puis resserrent la vis quand ça les arrange. Résultat : boom, crise, renflouement, et rebelote. À chaque fois, c’est nous qui payons l’addition avec noss impôts, pendant que les boss des banques se la coulent douce à Saint-Tropez.

2008, la grande rigolade
Vous vous rappelez la crise de 2008 ? Les banques avaient joué au casino avec notre fric, avaient tout perdu, et devinez qui qu'avait casqué ? Nous, pardi ! Les gouvernements ont filé des milliards aux banquiers pour les “sauver”. Sauf qu’en Islande, ils ont envoyé chier tout ça. Ils ont laissé les banques couler, sorti les députés du parlement dans des poubelles, mis les responsables en taule, et boum, leur économie avait rebondi. Pendant ce temps, en Irlande, ils avait dit “oui maître” à la BCE et se sont pris une dette monstre dans la tronche. Bien joué, les gars.

On est des esclaves aux chaînes invisibles.
Le truc, c’est qu'on est piégés. Vous signez un prêt pour votre baraque ou votre bagnole, et pouf, la banque invente l’argent de nulle part. Mais nous, on va trimer 20 ans pour rembourser, avec des intérêts qui nous font saigner. Et les impôts ? C’est pas pour les routes ou les écoles, non, non. C’est pour payer les intérêts des dettes que les gouvernements doivent aux mêmes banques. Un vrai racket, quoi.

La croissance, c’est pas notre pote
Tout ce cirque du PIB, c’est pas pour nous rendre la vie meilleure. C’est pour que les banques continuent à nous presser comme des citrons. Et en bonus, ça flingue la planète : déforestation, pollution, épuisement des ressources. Super ! Les économistes nous vendent des salades genre “plus de fric = moins de pollution”. Mon cul, ouais ! La Terre, elle en peut plus de ce délire.

Les banksters, ces marionnettistes flippants
Le pire, c’est que tout est contrôlé par une poignée de gros poissons. BlackRock, JPMorgan, Goldman Sachs, et leurs potes forment un club VIP qui possède tout : les banques, les entreprises, les médias, et même nos destins. Une étude suisse a montré que 147 boîtes contrôlent 40 % de l’économie mondiale. Et ces mecs se tiennent tous par la barbichette. Vous avez déjà vu une pyramide ? Ben, nous, on est tout en bas, et eux, ils se dorent les fesses au sommet.

L’Irlande, ou comment se faire plumer en silence
En 2010, la BCE a carrément menacé l’Irlande : “Vous payez nos dettes, ou on vous explose la gueule.” Résultat : les Irlandais se tapent des impôts de dingue et une dette de 235 milliards pour sauver des banques qui n’en avaient rien à foutre de leurs gueules. Pendant ce temps, les ultra-riches qui possèdent ces banques sirotent des cocktails. Et le peuple ? Il rame, sans même un référendum pour dire “non” à cette arnaque.

L’Islande, les seuls qui ont eu des cojones
Contrairement aux Irlandais, les Islandais ont dit “fuck off” aux banquiers. Ils ont laissé leurs banques se casser la gueule, protégé les pauvres, et leur économie s’est remise à flot. Respect. Mais attendez, c’est pas si simple : si on fait ça, les gros poissons nous tomberont dessus. Regardez ce qu’ils ont fait à Lincoln (bang-bang) ou à d’autres qu'ont voulu jouer les rebelles.

La solution ? Reprendre le contrôle !
Le vrai problème, c’est que les banques créent le fric de nulle part. Si les gouvernements reprenaient ce pouvoir, comme à l’époque des Greenbacks de Lincoln, on pourrait virer l’impôt sur le revenu et arrêter de se faire tondre. Mais bon, les banquiers, ils aiment pas qu’on touche à leur joujou. James Garfield l’a dit en 1881 : “Celui qui contrôle la monnaie contrôle tout.” Devinez quoi ? Il s’est pris une balle peu après. Coïncidence ? J’pense pas.

Vous êtes pas libres, arrêtez de rêver
Vous avez l’impression de vivre en démocratie ? PTR. Les élections, c’est du cinoche. Les gouvernements bossent pour les banques, pas pour nous. Les médias ? Pareil, ils appartiennent aux mêmes. Tout est verrouillé pour qu'on aie juste assez de fric pour survivre, mais jamais assez pour se barrer du système. Et si un pays essaie de se rebeller, boum, le FMI débarque avec ses “sauvetages” qui nous mettent encore plus à genoux.

Le mot de la fin
Ce système, c’est une machine à broyer. Nous, on est juste rien que des rouages. Les banques créent du fric fictif, nous le prêtent, et nous font bosser comme des crevards pour le rembourser. Les impôts, c’est pour engraisser leurs potes. La croissance ? Une excuse pour nous faire trimer plus. Et la planète ? Elle crève pendant que ces vampires s’en mettent plein les poches. Si vous en avez marre, likez cet article, faites tourner, faites du bruit. Parce que sinon, ils vont continuer à nous marcher dessus, et vous, vous allez juste dire “merci”. 
Alors, réveillez-vous, bordel !