27 sept. 2024

953. Le Nouvel Ordre Mondial (Pacte pour l'Avenir) ratifié dans le dos des peuples par l'ONU

 

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LE NOUVEL ORDRE MONDIAL (PACTE POUR L'AVENIR) RATIFIÉ DANS LE DOS DES PEUPLES PAR L'ONU


Les accords étaient déjà en place, et les débats n'ont été que de la poudre aux yeux. Le Nouvel Ordre Mondial est arrivé et il a été finalisé puis ratifié sans demander leur avis aux populations de la planète. Voici à quoi ça ressemble.
La liberté a été à nouveau bafouée et mise au rebut. Les Nations Unies, dans leur quête incessante d'orchestrer la gouvernance mondiale, ont dévoilé lors de leur réunion annuelle de 2024 à New York ce qu'elles ont audacieusement intitulé « Le Pacte pour l'Avenir » englobant le Pacte Numérique Mondial et une Déclaration sur les Générations Futures, ça s'est passé les 22 et 23 septembre 2024.

Cette vision ? Un monde enchaîné par des chaînes numériques, où chaque aspect de la vie est surveillé, géré et manipulé par un réseau de uns et de zéros. Ce grand projet de numérisation mondiale, élaboré dans les couloirs obscurs où les gouvernements du monde entier jouent les marionnettes des marionnettistes des Big Tech et de la Big Finance, ne promet pas la liberté mais une nouvelle forme d'esclavage.

Ce soi-disant « paquet d’asservissement numérique » nous est imposé avec la pompe et la cérémonie d’un couronnement, mais sans le consentement des gouvernés. Nous voici au bord d’un abîme numérique, où nos « représentants* » ont ostensiblement déjà vendu notre avenir, faisant du prochain débat à l’ONU rien de plus qu’une représentation théâtrale, une parodie de démocratie, cette même parodie pour laquelle Trump et Poutine seraient soi-disant des dangers, mdr...
*La farce des démocraties occidentales - et pas que - a été dévoilée au cours de la dernière décennie, révélant l’existence de deux gouvernements : l’un, un village Potemkine, se faisant passer pour l’autorité légitime et élue, et l’autre, un gouvernement parallèle, un mastodonte, entouré de secret et n’ayant de comptes à rendre à personne.
Cette dernière entité, surnommée à juste titre « l’État profond », s’est métastasée en un univers gargantuesque et autonome, imperceptible à tous, sauf à quelques privilégiés jugés dignes de sa confiance.
L’idée que ce léviathan opère en toute impunité, son fonctionnement interne étant invisible même aux yeux les plus indiscrets, nous rappelle que le concept de transparence dans la gouvernance n’est rien d’autre qu’une cruelle plaisanterie.

L’ironie est riche : dans un monde où la « démocratie » et la « transparence » sont considérées comme sacrées, ce changement crucial vers une dystopie numérique se produit derrière un voile si épais que seuls les aveugles ou les complices pourraient prétendre ne pas le voir.
Il ne s’agit pas seulement d’un pas, mais d’un saut dans la quatrième révolution industrielle, telle qu’annoncée par le Forum économique mondial, où l’autonomie humaine est échangée contre l’illusion de l’efficacité et de la sécurité.

Considérez ceci : à aucun moment les citoyens du monde, vous et moi, n’avons été consultés. Pas de référendums, pas de débats publics, juste des accords secrets scellés dans les coulisses où réside le véritable pouvoir.
C'est le nouvel ordre mondial, habillé en signe de progrès, où la liberté est redéfinie comme le respect de la surveillance numérique. Et qu'en est-il de l'opposition ? Elle se heurte au silence des ignorés ou à la dérision réservée aux « mal informés » ou aux « théoriciens du complot ».

L’audace de cette démarche de l’ONU, flanquée de géants économiques et technologiques, ne témoigne pas seulement de leur ambition, mais aussi de leur mépris pour la véritable action humaine. Ils présentent cette camisole de force numérique comme inévitable, comme si l’avenir de l’humanité devait naturellement pencher vers le catalogage, le suivi et le commerce sur les marchés numériques.
Mais soyons clairs, cette voie ne mène pas à une utopie mais à un monde où chaque clic, chaque mouvement, chaque transaction est un point de données dans le registre de quelqu’un d’autre, où la liberté est une notion désuète, pittoresque et dépassée.

Ce n’est pas comme ça que ça arrive. C’est là, enveloppé dans la rhétorique du progrès, attendant d’être dévoilé à New York, non pas avec un fracas mais avec le gémissement d’une acceptation passive. L’Agenda 2030 de l’ONU a accéléré son calendrier, non pas par urgence altruiste mais comme un mouvement calculé vers un avenir orwellien, avant que davantage de gens ne se réveillent et ne prennent conscience de leurs crimes.
Nous assistons à la mort subtile de l'argent liquide, non seulement dans les couloirs technophiles de l'Europe ou dans les rues animées d'Amérique, mais même dans le chaos vibrant des marchés indiens, le tout exécuté sans le moindre murmure du consentement du public.

Il ne s'agit pas d'une simple progression, mais d'un coup d'éclat numérique. Chaque transaction, chaque dossier médical, chaque bouchée que nous mangeons et chaque émission que nous regardons en boucle sont sur le point d'être surveillés, catalogués et contrôlés. Le système numérique, qui se fait passer pour pratique, se transforme en gardien invisible de notre vie quotidienne. Et quelle est la clé de cette prison ? Le discret QR code, désormais aussi courant que le café du matin, mais qui est le cheval de Troie de notre époque.

Présenté comme un outil d'efficacité, le QR code est devenu une laisse numérique. Pensez-y : accéder à un simple menu implique désormais potentiellement de céder vos données. Et qui règne sur ce royaume des QR codes ? Les géants de l’informatique, nouveaux seigneurs dont la valorisation boursière éclipse le PIB de nombreuses nations, ont transformé ce qui était un outil de suivi des pièces automobiles en un mécanisme de suivi des vies humaines.
Ce code-barrage dopé aux stéroïdes, avec sa capacité à contenir des données infinies, ne se contente pas de vous suivre à la trace ; il vous comprend peut-être mieux que vos plus proches confidents.
Inventé pour la tâche banale d’étiqueter les pièces de rechange d'automobiles, il a été détourné par les technocrates occidentaux pour nous étiqueter et nous contrôler, nous les pièces de leur grande machine. Il ne s’agit pas seulement de numérisation, mais de domination, où chacun d’entre nous est réduit à un point de données dans la vaste et froide étendue des registres numériques.

C’est ici que se trouve le grand théâtre du despotisme numérique, où le soi-disant « pacte numérique » n’est pas une négociation mais une dictature, programmée pour se dérouler loin des regards indiscrets du public pendant l’Assemblée générale des Nations unies. Ces sessions secrètes, déguisées en simples révisions sur une obscure page Web de l’ONU, ne sont rien d’autre qu’une conspiration contre l’autonomie des nations et des individus.
Imaginez, si vous le voulez, un monde où l’ignorance n’est pas seulement une bénédiction mais une politique cultivée. Les masses, parfaitement inconscientes, sont au bord du gouffre numérique, en grande partie parce qu’elles choisissent de ne pas plonger dans les eaux troubles de la politique internationale. Si seulement la population était moins indifférente, peut-être pourrions-nous conjurer le sort de cette tyrannie numérique qui menace.

La composition de ces tractations en coulisses ? Un mélange trouble de géants du monde des affaires, de seigneurs de l’informatique et de ce qui se fait passer pour la société civile, tous dansant au rythme joué par des organisations comme le Forum économique mondial et le Club de Rome.
Ces entités, nichées dans la tranquillité trompeuse de la Suisse, un pays si « neutre » qu’il devient le repaire parfait pour des organisations dont les visions de l’humanité sont tout sauf bienveillantes. Leur objectif ? Une réduction drastique de la liberté humaine, sous couvert de gouvernance mondiale.

Ce pacte numérique, dans son essence, est un piège en béton armé. Il n’y a pas de place pour la dissidence, pas d’espace pour la souveraineté personnelle. Le concept de « retrait » est aussi étranger à cet accord que la gentillesse l’est à un requin-tigre. Chaque individu, quels que soient ses désirs ou ses besoins, doit être parqué dans cette enceinte numérique. « Rejoignez-nous ou souffrez », disent-ils, sans laisser aucun choix réel.

Quant aux gouvernements, leur souveraineté est également piétinée. Ils ne sont pas des participants mais des marionnettes, chargées de se conformer ou de faire face à des conséquences indéfinies, mais assurément désastreuses. Ici, la notion de choix national est aussi risible que l’idée d’un lion choisissant de devenir végétarien.
L’idée même d’exceptions dans ce grand projet de « numérisation complète » est un anathème pour les architectes de ce nouvel ordre mondial. Les exceptions détricoteraient leur tapisserie de contrôle méticuleusement tissée.
Pour que la vision mondialiste réussisse, chaque fil doit tenir, chaque individu doit être pris en compte et personne ne peut être autorisé à sortir de ce goulag numérique. Pourquoi ? Parce que le contrôle, une fois dilué, devient aussi inutile qu’un tamis sous une tempête de pluie.

C'est là que se trouve le grand manifeste du salut numérique, vendu sous couvert de bien-être universel, mais qui cache sous sa surface un audacieux projet de contrôle. Le message ? Une utopie où les technologies numériques balayent les maux de l'humanité : guerre, pollution, maladie. Mais ne soyons pas naïfs : c'est le gant de velours qui cache la poigne de fer d'un ordre mondial unique, où chaque octet et chaque bit sont un maillon de la nouvelle gouvernance mondiale.
Ce soi-disant « pacte » ne se contente pas de suggérer, il impose un monde où tous doivent marcher au rythme de la numérisation. L’audace de prétendre que sans exception, chaque âme doit être numérisée, comme si les humains n’étaient que de simples points de données dans leur grand dessein.
C’est là que le cynisme entre en jeu : devons-nous croire que l’uniformisation de l’accès numérique effacera comme par magie les conflits ? Ou est-il plus probable que cette homogénéité serve à mieux surveiller, gérer et manipuler les masses ?

L’ONU, imaginée à l'origine comme un phare du dialogue international, n’apparaît désormais plus que comme une marionnette tirée par des ficelles comme le Forum économique mondial. Leur accord de juin 2019 n’est pas seulement un partenariat ; c’est une capitulation, une annexion illégale de souveraineté sous la bannière de la coopération.
Et qu’en est-il de la légalité dans un monde où les règles sont établies par ceux qui ont les poches les plus profondes ? Ici, la légalité est aussi malléable que les monnaies numériques qu’ils souhaitent nous imposer.

Les géants de la technologie et de la finance entrent en scène, les nouveaux maîtres de ce récit dystopique. Ils ne se contentent pas de soutenir cette aventure, ils sont prêts à la posséder. Le budget de l’ONU, autrefois un effort collectif des nations, risque désormais de devenir le jouet des titans de la technologie et des mastodontes financiers. « Qui paie décide », disent-ils, et en effet, ils décideront du sort des nations, réduisant les pays à de simples utilisateurs de leur système d’exploitation mondial.

Cette poussée vers une identité numérique unique pour tous n’est pas une question d’inclusion, mais d’exclusion : ceux qui résistent à cette adoption numérique se retrouveront exclus d’un monde qui est censé célébrer la diversité. L’OMS, avec son potentiel de tyrannie fondée sur la santé, se profile comme la réincarnation de la Gestapo, prête à faire respecter les règles sous prétexte de santé publique.

Ce pacte, cette poussée incessante vers la « numérisation complète », ne marque pas l’aube d’une nouvelle ère de paix et de prospérité. C’est l’instauration d’un despotisme numérique, où les exceptions – celles qui sont assez courageuses ou assez stupides pour se démarquer – ne sont pas seulement des obstacles, mais sont vilipendées comme les ennemies du progrès. L’ironie ? Dans leur lutte pour l’individualité, ces exceptions pourraient bien être les derniers bastions de la véritable liberté humaine.

Imaginez les futures réunions des Nations Unies, non pas comme des forums de diplomatie mondiale, mais comme de simples assemblées d’actionnaires d’entreprises – ou mieux encore, comme des « réunions de parties prenantes » de style WEF/FEM. Ici, l’ordre du jour est préétabli, les résultats prédéterminés, sans aucune marge de manœuvre ni pour tracer une voie qui pourrait favoriser la dignité humaine au détriment de l’efficacité numérique.

À la barre se trouve la gestion numérique, une entité si omnipotente que la notion même de résistance semble étrange. L’humanité, désormais transmuée en transhumanité, suit avec un silence qui en dit long sur sa soumission.
Et pour les rares personnes dotées de la vue et de la voix ? Le système a une solution : l’effacement numérique. Une disparition nette, sans voix, dénuée de la confusion d’un meurtre traditionnel. Dans ce monde nouveau et courageux, le « président numérique » est inattaquable ; après tout, dans un ordre fondé sur des règles, il n’y a pas de crime s’il n’y a pas de corps – seulement un vide là où se trouvait autrefois une voix.

En scrutant les échelons des rôles consultatifs de l’ONU, il ne faut pas s’étonner de trouver les titans de la Big Tech. Ces entreprises, les nouveaux oracles de notre destin numérique, ne se contentent pas de conseiller ; elles dictent le scénario, guidées par les mains invisibles de la Big Finance, dont nous n’osons pas murmurer les noms trop fort.

Mais c’est là que réside le nœud du problème : est-ce que nous, l’humanité entière, possédons un moyen d’échapper à ce nœud coulant numérique qui se resserre autour de notre cou ? Il existe en effet une voie, mais elle nécessite de nous réveiller de notre sommeil induit.
Elle exige de reconnaître le jeu d’échecs qui se joue avec nos vies, d’en comprendre les enjeux et de rejeter l’isolement imposé par un système qui défend l’individualisme uniquement pour diviser pour mieux régner. Notre salut réside dans l'unité, dans le cri de ralliement « Ensemble, nous pouvons », transcendant la fracture numérique pour reconquérir notre humanité commune.

Dans un monde où la balance de la justice est influencée par l'argent, où les meurtriers portent des couronnes et où les diseurs de vérité sont sacrifiés sur le bûcher du conformisme, la peur muselle les masses. C'est dans ce monde même, enveloppé de silence et d'ombres, qu'il devient impératif de réveiller le dragon endormi de la dissidence.