17 août 2024

934. Élections US: Fin du parcours, y aura pas de prisonniers

 

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ÉLECTIONS US: FIN DU PARCOURS, Y AURA PAS DE PRISONNIERS

C'est une projection de leurs propres désirs malsains, de leurs actions criminelles, de leurs afflictions personnelles, au point que la meilleure façon de savoir ce qu'ils envisagent de faire est de voir de quoi ils vous accusent.

C’est rigolo de méditer sur le torrent de textos paniqués et dérangés entre délégués démocrates à la Convention Nationale Démoncrate alors qu’un train incontrôlable de destins malins, de mauvais choix, de politiques insensées, d’idées délirantes et d’émotions sauvages les pousse à nommer une demeurée à la présidence. 
La confusion et le doute de soi doivent être épiques. Est-ce qu'on va vraiment faire ça ? Est-ce que cela se produit réellement ? Vous devez imaginer que c'est le même état d'esprit que, disons, une voiture pleine de demoiselles d'honneur bourrées qui filent à toute berzingue sur la Nationale à 140 à l'heure en direction d'un platane solitaire.

Les erreurs de jeu et les subterfuges qui les ont amenés à cette situation sont irréversibles : l’insulte de laisser « Joe Biden » se présenter devant un gouvernement criminel, les nombreux canulars et l’anarchie exorbitante de la loi, la mauvaise gestion flagrante des affaires publiques, le naufrage des institutions, l'économie ruinée, le dollar dévalué, la destruction de ménages et des communautés, la folie sexuelle homo et transgenre et les maladies mentales programmées – tel est l'héritage du Parti Démocrate. 
Aucun d’entre eux n’a-t-il un tant soit peu honte des dégâts qu’ils ont causés à cette nation ? Et peut-être se posent-ils même la question entre eux ? Peut-être même certains d'entre eux sont-ils impatients de faire en sorte que tout ça s’arrête ?

Ainsi, les délégués se dirigent vers Chicago pour leur Convention, une ville en chute libre civique, soit pour faire semblant de célébrer la sélection capricieuse de dirigeants tout à fait douteux qui leur ont été imposés par des mains invisibles, soit, peut-être, pour se révolter contre la cabale maléfique qui prétend « défendre leur société », et « leur démocratie » en les écrasant toutes les deux. Bien sûr, c'est à l'intérieur de la Convention que ça se passera. 
Dieu sait pourquoi les différentes tribus qui courent à la baston chaude et bouillante en ces jours d'été concoctent des manigances en dehors de l'arène du United Center de Chicago – les amoureux du Hamas, les maniaques du sexe anal, les Antifas, les BLM, les Bolcheviques, les Anarchistes, les Utopistes, les freaks du changement climatique, les sœurs sanglantes, les piétineurs de la culture Gramscienne de l'Hégémonie culturelle, les Spartacistes, les Trotskistes, les Jacobins, les Fabiens et les simples vieilles racailles habituelles qui cherchent à s'amuser et à piller. Le gigantesque terrain vague de stationnement entourant le United Center sur West Madison Street ressemble à un champ de bataille parfait.

Tout ça va commencer après-demain lundi. Entre-temps, de nombreuses erreurs d’orientation tournent autour de l’opposition trumpienne et de Robert F. Kennedy Jr, tandis que la masse de renseignements qui dirige les médias grand public tente de semer la dissension et la confusion parmi eux. Cela inclut des rumeurs selon lesquelles Donald Trump a conclu « un accord » avec le conglomérat de l'état profond pour devenir tout flasque en échange d’être libéré de ses nombreux problèmes juridiques artificiels. 
Les chances que ça soit vrai doivent être nulles, même si le juge new-yorkais Juan Merchan a la possibilité d’envoyer l’ancien président en prison le 18 septembre. Ce serait trop drôle de le voir essayer de faire ça. Ceci déclencherait sûrement le tableau de résistance symbolique le plus important et le plus mémorable de l’histoire des États-Unis depuis que John Paul Jones a crié en direction du navire de guerre britannique Serapis pour lui demander sa reddition : « On a pas encore commencé à se battre. »

Quant à Robert F Kennedy Jr, des rumeurs circulent selon lesquelles Donald Trump aurait tenté sans succès de conclure un accord qui aurait permis à Bobby de rejoindre le poste de vice-président, ou une autre mission juteuse, s'il avait abandonné la course à la Présidence. Mais il est difficile de voir exactement en quoi cela discrédite l’un ou l’autre, puisque presque tout le monde s’attend à ce que Trump, s’il est élu, emploie Bobby pour, au moins, nettoyer les secteurs de la santé publique et de la pharmacie – une tâche épique qu’il devrait idéalement assumer, vu comment ce dernier parait adapté pour le job.

Ensuite, il y a eu des discussions malveillantes à la fin de la semaine selon lesquelles Bobby F Kennedy aurait approché Kamala Harris en lui proposant un soutien en échange d'un poste clé dans son gouvernement – ​​en supposant qu'une fraude électorale massive assurerait sa victoire le 5 novembre. Bobby F Kennedy Jr a nié la rumeur et a ensuite dénoncé l'incarnation actuelle du Parti Démocrate comme étant totalement hostile à tout ce qu'il représentait lorsque son père, le président John F. Kennedy, et son oncle Robert Kennedy étaient au manettes, notamment en matière de liberté d'expression et de censure.

Alors que cette querelle se déroulait, la juge newyorkaise (démoncrate) Christina Ryba a exclu Bobby du scrutin à New York pour avoir soi-disant mal déclaré qu'il était un résident de New York sur sa propre inscription sur les listes électorales. Il compte faire appel. New York est devenue un égout judiciaire sous la gouverneure démocrate Kathy Hochul.

Alors attendons maintenant pour voir si Kamala Mala Harris et Tim Pédo Walz sortiront de la Convention Nationale Démocrate de la semaine prochaine de la même manière qu'ils y seront entrés : en tant que candidats de bonne foi. 
À un moment donné, Kamala Mala Harris devra démontrer une certaine aptitude à occuper de hautes fonctions en plus d'être une ex-artiste de pole-dancing, une go-go girl et une machine à rire. 
Tim Pédo Walz se montre tellement déséquilibré devant chaque public qu'on s'attend à ce que la campagne le fourre dans un placard à balais une fois la Convention terminée – s'il devait encore être sur le ticket pour la Vice-Présidence une fois tout dit et décidé.

Il semble à ce stade que la satanique femme à Bill Pédo Clinton n’aura finalement jamais son « tour » à la Maison Blanche. Ça doit exaspérer Hillary de voir l’histoire la remplacer par une baudruche dotée d'un demi-cerveau. La politique est une affaire cruelle. Vous verrez à quel point ils seront cruels la prochaine fois qu’ils tenteront de frapper Trump dans cette campagne électorale « Fin du parcours: Pas de prisonniers ». Les choses deviendront presque certainement plus folles à partir de là.