L'HYPOCRISIE BIDONO-OCCIDENTALE LÈVE LE VOILE :
LE CONTE DE 2 CITÉS OTAGES
Au milieu des ombres menaçantes d’une horrible guerre à Gaza, un sinistre drame se déroule avec la libération de deux otages américaines par le Hamas. L'administration Biden, concentrée sur la vie des Américains, a obtenu leur libération. Pourtant, alors qu’ils avancent vers la lumière de la liberté, le silence sinistre face à l’attaque israélienne imminente sur Gaza fait écho à une apathie glaçante. Le contraste frappant entre la saga du sauvetage et la froide négligence d’un Gaza assiégé révèle une histoire de deux poids, deux mesures grotesques, marinée dans un intérêt personnel cynique.
Le théâtre qui se déroule à Gaza révèle l’odieuse réalité du jeu géopolitique de Biden, où le calcul cynique penche lourdement vers la vie des Américains. L’approbation implicite de l’agression militaire israélienne, le blocus étouffant et les bombardements incessants disparaissent à la suite d’une victoire diplomatique des États-Unis. Cela révèle une indifférence cruelle, où le caractère sacré de la vie humaine à Gaza est troqué contre de l’opportunisme politique, dressant un tableau odieux d’une realpolitik dépourvue d’humanité.
En creusant plus profondément, la façade de préoccupation humanitaire de l’administration Biden se brise, révélant un paysage de manœuvres géopolitiques froides et calculées. Le sort d’un enfant palestinien tombe dans l’oubli sur fond d’attention particulière portée à la vie des Américains. C’est une sombre exposition d’un monde occidental où la valeur de la vie humaine est impitoyablement liée aux allégeances politiques, un réquisitoire accablant contre un régime moralement en faillite.
Le caractère sacré de la vie humaine semble avoir perdu de son éclat dans les couloirs de Washington, remplacé par un opportunisme politique froid et calculateur. L’histoire des deux otages dévoile une amère vérité : pour l’Occident, la valeur d’une vie se mesure au passeport qu’on détient. Les échos de cette amère réalité se répercutent dans le ciel déchiré par la guerre à Gaza.
Quand la balance de la justice s’équilibrera-t-elle ? Ou bien sommes-nous condamnés à un monde où le passeport que l’on détient l’emporte sur l’essence de notre humanité commune ?
Moralité: ne jamais faire confiance aux États-Unis et au régime sioniste. ils ne se soucient que d'eux-mêmes et les autres ne sont rien pour eux et cela a été prouvé à maintes reprises (ukraine/irak/libye/palestine/beaucoup d'autres). l’humanité doit leur tenir tête. Nous avons toujours espéré que le bon sens prévaudrait, mais c'est triste de dire que cela ne fonctionne pas sur ces gens, ils sont satanistes et leur esprit fonctionne différemment. Inhumain, trompe toujours les gens et agit sans morale ni compassion envers les autres.
La valeur que Le Monde Occidental accorde à une vie humaine est égale au PRIX que sa nation exigera pour cette vie. Plus le pays est puissant, plus la vie de ses citoyens vaut ; en valeur MONDIALE. Il en a été de même tout au long de l’histoire des empires : Égypte, Babylone, Perse, Grèce, Rome, France, Angleterre, Israël, États-Unis.
Comparez même la vie en Israël avec la vie en Palestine : même les Palestiniens exigent la libération de 6 000 palestiniens actuellement emprisonnés arbitrairement et sans jugements, donc des otages, dans les geôles israéliennes pour 200 otages israéliens.
Les habitants des pays les plus pauvres valent moins, EN valeur MONDIALE.
Mais voici un secret pour vous, les pilules bleues ; plus un peuple est pauvre, plus il est proche de la nature et de Dieu. Donc, en réalité, leur vie vaut vraiment PLUS.
Les riches sont saturés du luxe du monde et, par conséquent, sont les plus éloignés de Dieu et sont donc essentiellement sans valeur.