24 nov. 2021

561. Menthe ou Grenadine ? Choisissez la bonne pastille ! Ép 9 à 15


Menthe  ou Grenadine
Choisissez la bonne pastille !

 Les articles et/ou vidéos ci-dessous sont les 7 suivantes (9 à 15) d'une série nommée Pilules Rouges qui ont été mises en ligne entre août 2021 et décembre 2022 sur le site lesdeqodeurs.fr mais non partageables sur Facebook ou Youtube qui censurent ce site depuis plusieurs mois.
Si vous les avez manqués,

Les pilules les plus anciennes seront en haut de ce post, et si je m'emmêle pas les pinceaux, les plus récentes devraient se trouver tout en bas...  si j'ai bien tout bien tout calculé je veux dire... 

Notez que les temps de lecture marqués pour chaque pilule sont les temps Vidéo. Il ya beaucoup plus de temps à passer sur chaque pilule si vous lisez tous les textes et explorez tous les liens et vidéos annexes.


D’après Patel Patriot, la dévolution est une théorie de la conspiration, mais la plus plausible de toutes car basée sur des preuves circonstancielles, qu’il étudie dans ses articles.
Voici sa théorie : si on regarde les chiffres, Trump a eu un des meilleurs mandats de l’histoire des États-Unis. Son résultat est spectaculaire. Pourtant il est aussi un des plus décriés, critiqués et traînés dans la boue mais il ne s’est jamais démonté, continuant sur sa ligne en dépit des médias et de l’opposition. Trump a prouvé à répétition son amour pour son pays. Son objectif depuis le premier jour a été de sauver l’Amérique de l’establishment politique, dont il savait qu’il essaierait de voler l’élection. Il en aurait secrètement protégé le pays (grâce aux outils de l’appareil législatif, puis en mettant en place la dévolution), et maintenant il est en route pour l’éradiquer complètement. Patel Patriot ne croit pas que Trump s’est défilé mais mène la danse en sous-marin, tout en nous distrayant en surface avec des actions légales. Le concept de dévolution fait partie des plans top secret de continuité du gouvernement et de transfert des responsabilités en situation de guerre.
L’opération Dévolution a toujours été double. Tout d’abord, il y a le côté dont (toujours selon la théorie) Trump et l’armée se seraient déjà occupés. C’est ce que les articles de Patel Patriot tentent de démontrer : que Trump et les militaires ont les preuves du vol des élections, ont légalement bordé la présidence et sont prêts à agir en attendant la deuxième partie : le réveil des citoyens, la prise de conscience que l’establishment politique a complètement trahi le pays et son peuple. Ce réveil est d’ailleurs autant le fait de Trump que celui de l’establishment politique lui-même, qui fait en ce moment un encore meilleur travail de montrer au peuple sa vraie nature.
Le travail de Patel Patriot est basé sur celui de Thomas Wictor :
 


Durham & Lindell
Avant de commencer cet article, je tiens à préciser que je vais spéculer un peu plus que je ne le fais habituellement. C’est le but de ma série d’addenda. J’essaie d’émettre des hypothèses sur la base des informations disponibles. La quantité de preuves circonstancielles indiquant que la dévolution est en train de se produire en ce moment est indéniable, mais l’aspect le plus difficile à comprendre est de savoir comment elle va se dérouler afin de faire revenir Trump au pouvoir. La reconstitution des étapes finales du plan de dévolution nécessite une certaine spéculation.


En résumé, et progressivement depuis de nombreuses années, sous prétexte d’optimiser la capacité du pays à protéger et maintenir ses infrastructures critiques en temps de crise (institutions gouvernementales, sécurité des personnes et du territoire…, dont le système électoral), le secteur privé a été de plus en plus impliqué dans l’organisation de la protection de ces infrastructures. Cette protection a été phagocytée par les entreprises privées, et ce avec l’accord indirect du gouvernement.

Pour 2020, il est clairement établi que le Département de la Sécurité Intérieure (DHS) savait que Dominion, dont les machines sont massivement utilisées, avait un conflit d'intérêt et l’a pourtant laissé opérer sans surveillance en situation de responsabilité de la sécurité de l'infrastructure électorale.

Les liens de Dominion avec le PCC étant établis, on peut conclure que la Chine a pu contourner les mesures de sécurité que Dominion était chargé de mettre en place, afin d'accéder à ses machines, ce qui a entraîné le résultat frauduleux de cette élection. C’est par définition un acte de guerre, sanctionné et couvert par le Département de la sécurité intérieure des Etats-Unis (via la déclaration de la CISA du 12 novembre 2020).

Mais le seul moyen de rectifier la fraude serait que les états décertifient l’élection. Selon Patel Patriot, ça ne fonctionnera pas car Biden, complice (liens avec la chine), ne coopérera pas et fera tout pour rester au pouvoir. Sauf…
… si la dévolution est réelle !
En parallèle de l’organisation de la fraude, on a vu que la position dans l’organigramme du système électoral, spécifiquement, a été déplacée de manière à la placer sous l’égide de la CISA, c’est-à-dire de la Sécurité Nationale. Le fait d’en faire une question de sécurité nationale donne au président la possibilité/l’obligation de la traiter comme une question nationale, et non une question civile de maintien de l’ordre pour laquelle ses pouvoirs seraient restreints.
Mais Trump n’a pas laissé la sécurité de l’élection seulement à la CISA (qui a prouvé sa participation à la dissimulation de la fraude). Il a aussi fait en sorte qu’une autre agence ait la possibilité d’accéder légalement aux preuves sans assignation d’un juge, entre autres aux routeurs de Maricopa (qui n’ont d’ailleurs jamais été officiellement remis à l’audit) : c’est la Force Spatiale. Les militaires surveillaient aussi l’élection !

Puisque le gouvernement a sciemment laissé faire la fraude : Trump était forcément au courant, a laissé faire volontairement, a récolté les preuves pour toutes fins utiles, etc.


Projet de décret
Le 19 janvier 2022, il a été rapporté que Donald Trump a perdu sa tentative de bloquer la divulgation de documents au comité du 6 janvier.


Dans cet article, nous allons tenter de vous donner une bonne compréhension d’un scandale politique majeur qui se déroule actuellement aux US. Ce scandale est connu sous différents noms, notamment SpyGate, ObamaGate, FISAGate. Quel sont les tenants et aboutissants de cette affaire? Quels sont les acteurs qui sont impliqués? Et pourquoi devrions nous nous intéresser à ce scandale politique en particulier? Voici les questions auxquelles nous allons tenter de répondre ici.


L’insurrection du Capitole était le moyen nécessaire aux démocrates pour achever de voler l’élection. Une fois de plus, Trump les a vus venir et les a laissés aller trop loin. Si Antifa a été à ce point surveillé depuis l’été 2020, c’est parce que non seulement Trump savait ce qui allait se passer mais qu’il a pu le laisser faire à dessein et également en limiter les dégâts (le nombre de morts aurait pu être important). Si le réseau d’Antifa a bien été cartographié, toute personne impliquée du gouvernement ou à l’étranger pourra être inquiétée. Trump avait besoin que les démocrates aillent au bout de leur fraude pour pouvoir par la suite les arrêter et les juger, et il a pour cela sacrifié un pion sans importance, puisque, selon la théorie de Patel Patriot, il avait de toute façon suspendu le vote, de sorte que le décompte réel des voix n’avait pas d’importance.
En résumé, si une usurpation du pouvoir par les membres du gouvernement (par exemple dans le cadre d’une élection, avec l’aide d’un adversaire étranger, compromettant les branches législative et judiciaire du pouvoir, etc.) était repérée et analysée en amont, sans aucun doute des actions exécutives seraient prises pour laisser une opportunité à l’armée de prendre des mesures réparatrices pour contrer et corriger l'élection volée.
Toute cette partie indique que Trump a fait le nécessaire pour tendre cette opportunité aux militaires et qu'ils l’ont saisie.


La guerre silencieuse « fait rage » entre Trump et les démocrates (entre l’armée américaine et le PCC ?) depuis longtemps, et sur de nombreux fronts (Covid, RussiaGate…), dont l’élection est le plus crucial. Tout au long de son mandat, les démocrates ont cherché à démettre Trump de ses fonctions, sans succès. Par conséquent, si on se réfère aux parties précédentes, on peut comprendre que le PCC aurait utilisé le Covid-19 et les émeutes comme outils pour nuire à la réélection de Trump en le décrédibilisant, toujours sans succès. La fraude à l’élection était donc la seule solution restante. 
Ce sont les différents chefs de service des différents corps de l’armée (terre, air, marine, corps des Marines, Force Spatiale, Garde-côtes) qui travaillent sous l’autorité des responsables de leurs départements respectifs. Mais au sein du JCS, ils sont aussi les militaires les plus hauts placés au sein du ministère de la défense et ont une fonction de planification et de conseil (du président, du secrétaire à la défense, des départements de sécurité intérieure et nationale). A ce titre, ils n’apparaissent nulle part dans la chaîne de commandement car ils n’appartiennent pas aux forces combattantes. Ils établissent et publient la doctrine interarmées, c’est-à-dire les principes fondamentaux qui guident l’emploi des forces militaires américaines. La défense de la constitution et la sécurisation de la patrie en sont les deux principaux axes.


Nous avons vu dans la partie 1 que le 15 janvier 2020 coïncident la signature d’un accord commercial avec la Chine, le 1er cas de Covid aux Etats-Unis et le premier procès d’impeachment contre Trump. Nous avons aussi vu dans toutes les autres parties que Trump agissait en préparation d’un vol électoral bien avant 2020 et ne pouvait pas se douter dès 2018 que l’arme de la Chine pour voler l’élection serait le Covid. Mais cette guerre est plus grande : elle est combattue contre l’establishment politique mondial (Patel Patriot n’utilise le terme « Etat profond » qu’une ou deux fois et seulement à partir de la partie 11, préférant largement l’expression « establishment politique »). Dans beaucoup de pays, establishment politique, dirigeants, institutions… sont corrompus au-delà de toute réparation, utilisent les médias comme organes de propagande et truquent les élections pour rester au pouvoir ; c’est ainsi que le système perdure et rend les Etats vulnérables aux ennemis étrangers (ex. : si le PCC corrompt un homme politique américain avec un accord louche, il le tient).
Devant la perversion d’une telle corruption, une seule entité a le pouvoir de l’arrêter : l’armée. Les forces armées servent sous le contrôle civil du président, le commandant en chef. → Il faut donc un président désireux de soutenir ce combat à la tête du pays pour que l’armée puisse agir et mener légitimement à bien sa mission de « Défendre les États-Unis contre tous les adversaires tout en servant la Nation comme un rempart et en étant le garant de sa sécurité et de son indépendance. » Et si ces adversaires étaient ses propres élus ?
Il se pourrait que la guerre silencieuse ait d’une certaine manière commencé avant l’annonce de la candidature de Trump. Les forces armées américaines disposant des meilleurs systèmes de renseignement au monde, ils ont pu être témoins, mandat après mandat, de la corruption des élus et de la mise en danger des Etats-Unis par leur compromission auprès de puissances étrangères. Mais comment vaincre cette menace si elle est à l’origine des ordres qu’ils reçoivent ? Si Trump est la réponse, cela expliquerait pourquoi les membres de l’establishment se sont battus contre Trump comme si leur vie en dépendait.


Crowdstrike - SpyGate
Comme nous l’avons vu dans la partie 10, l’affaire du Spygate (sur laquelle enquête le procureur spécial John Durham) est la conséquence de la fausse enquête sur le RussiaGate (intox alléguant la collusion de Trump avec la Russie lors des élections de 2016). Perkins Coie est un cabinet d’avocats employé par le Comité National Démocrate (DNC) pendant la campagne d’Hillary Clinton en 2016 pour engager secrètement un cabinet de recherche (Fusion GPS) et un ancien agent du renseignement britannique détestant Trump (Christopher Steele) dans le but de constituer un faux dossier sur la collusion entre Trump et la Russie pour le compromettre et ainsi détourner l’élection de 2016 (c’est la partie RussiaGate). C’est ce dossier, non vérifié, qui a servi au FBI pour obtenir illégalement un mandat FISA pour surveiller la campagne de Trump pendant ses derniers jours en octobre 2016 et en particulier pour surveiller Carter Page, un conseiller de campagne de Trump spécialisé dans les affaires étrangères (ça c’est la partie SpyGate). Certains renseignements indiquent que le FBI avait de bonnes raisons de soupçonner le DNC et que donc la vraie collusion était plutôt entre le FBI et les démocrates pour détourner l’élection de 2016.


La Stratégie
L’objectif de cet article est de fournir le contexte approprié dont nous aurons besoin pour Devolution – Partie 13. Il est incroyablement important de comprendre qui est l’establishment politique et son histoire de manipulation du paysage politique à son avantage. L’élection américaine de 2020 n’était pas la première fois que l’establishment politique évinçait un dirigeant qu’il ne voulait pas ou ne pouvait pas contrôler. N’ayant suivi la politique que depuis 2018, ce que je vais couvrir dans cet article était une nouvelle information pour moi, mais peut ne pas être nouveau pour ceux qui lisent. Quoi qu’il en soit, il est important de mieux comprendre ce sujet avant d’aller de l’avant.
Parlons des « révolutions de couleur » (WIKI), de la façon dont l’establishment politique les a maîtrisées, et de la façon dont ils ont utilisé leur stratégie de révolution de couleur au niveau national pendant la présidence de Trump.
Quelle est la définition et l’objectif d’une révolution de couleur ?

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Un super grand merci à Leo, Rudy et Niko
du site des DéQodeurs et des Ambassadeurs du Nouveau Monde ADNM pour leur énorme travail de réinformation et d'éveil.



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