8 nov. 2020

448.Obéir, c'est se rendre complice de leur complot.


Je vais poser mon smartphone, laisser tomber Facebook un moment - ils m'ont bloqué ces cons, plus le droit de partager ni de commenter - et tâcher de tenter d'expliquer à tous ceux qui me liront ce qu'ils ne veulent pas entendre. Comme vous devez le savoir si vous traînez vos semelles dans le coin 
depuis un certain temps, je ne suis rien de plus qu'un autre pékin parmi les centaines de millions d'autres peuplant déjà cette planète et questionnant ce qui est entrain de se dérouler actuellement sous leurs yeux avec la plus grande partie des neurones 
leur parcourant le cerveau asphyxiés comme étranglés par la terreur leur nouant les tripes, se demandant comment il est possible qu'un tel cauchemar puisse leur être tombé dessus de nulle part et continuer à se dérouler sous leurs yeux pieds sans que personne ne semble pouvoir être en mesure d'appuyer sur le bouton stop de cet infernal tapis roulant. 

Je ressens aussi ça comme la plus fondamentale question de notre temps; et c'est pourquoi je dédie - au grand dam de Dame Marylou qui commence à péter les plombs rien qu'à me regarder péter les miens - la plus grande partie de mes heures de confinement à tenter d'enquêter, de décortiquer, de démêler, de tenter d'écrire le récit de ce qui nous arrive à tous, et en même temps, à tenter d'interrompre le plus souvent possible le logiciel qui semble tous nous entraîner tel un troupeau de bêleurs dociles en direction d'une chaotique et obscure bergerie pyramidale sous l'œil cyclopéen d'un mal absolu. 
Aussi, plutôt que d'obéir docilement et de suivre le troupeau, j'ai décidé de questionner. 

Lorsque tout débuta, en février ou mars, je pense que nous fûmes tous plutôt obéissants, en tous cas moi je le fus, je respectai le confinement, la distanciation sociale et le masque à gaz, parfois même rien qu'un simple bandana sur le museau lorsque les masques étaient encore rares, mais en tous cas, je tentai du mieux possible de faire preuve de respect pour mon entourage et tout le tralala. Mais avec le temps, je me rendis compte qu'en me montrant obéissant et respectueux des mesures que les têtes parleuses nous demandaient de suivre sur nos écrans, je devenais complice de ces mêmes mesures et de ce qu'elles entraînaient. Ils avaient fait de moi leur complice. 
Voilà, c'est dit: Par mon obéissance, je m'étais rendu complice du crime en progression. 
Y a qu'à voir ces dingos de Facebook qui applaudissent ces lycéens en colère se faisant gazer par les cognes car réclamant de plus sévères mesures sanitaires dans leurs lycées. Mais ils sont cons ou y'z'ont pas de cervelles, ces lycéens comme ces applaudisseurs à la con ? 
La dissonnance cognitive arrive aujourd'hui à faire  applaudir n'importe quoi, même ce contre quoi on lutte.

Il est donc devenu pour moi important de mettre le feed de leur logiciel en pause et de m'interroger sur chaque nouvelle mesure, chaque nouveau décret - et croyez-moi, ce serait beaucoup plus fastoche pour moi et ma famille de me laisser porter par le courant, d'obéir sans me poser de questions, sans faire de vagues, de bien me tartiner les doigts de gel hydro-alcoolique chaque fois que je rentre dans un bureau de poste ou dans une pharmacie, bien planqué et "protégé" derrière mon masque, de respecter les marquages au sol aussi scrupuleusement que je respecte les feux rouges quand je chevauche ma bécane, ouais, ce serait définitivement plus facile de respecter tout ça sans me poser tout le tas de questions qui me traversent la tête depuis des semaines, tellement et simplement si grandement plus facile de me laisser guider avec des œillères et sans broncher.

Mais en fait, je pense qu'il est hyper important de savoir dire "Non", d'appuyer sur le bouton stop, parce que je crois que quand on stoppe le logiciel, notre entourage ne peut que s'en apercevoir et ça les réveille à leur tour, ça leur fout une secousse, ça les sort de leur torpeur, ça fait resurgir du fond de leurs tripes ce mastodonte qui sommeillait, ce poids écrasant de l'inconnu, cette fatalité qui s'était emparée d'eux, parce qu'interrompre ainsi la vibration, la respiration de ce mastodonte peut éveiller une masse de gens, pas tous, mais beaucoup, peut faire qu'une masse critique de gens va commencer à comprendre à son tour dans quel bourbier  on l'a enlisée, pour ne pas dire enfumée. 

Et je pense que c'est par des gestes de désobéissance qu'on arrivera à réveiller le reste du troupeau pour que lui aussi cesse d'avancer aveuglément vers où on veut le conduire et se mette à dire à son tour: "Non, je ne vais pas permettre à ces enculés de me conduire à l'abattoir, non, je ne vais pas leur permettre de ruiner sans poser de questions l'économie de mon pays, de laisser mettre en faillite sans sourciller du cul tous les petits commerces, les petites entreprises, je ne vais pas permettre à cette bande de criminels globalistes esclavagistes de ruiner la santé de mes gosses, de transformer nos gardiens de la paix en une sorte de Gestapo sanitaire et de robocops aux dents longues qui ne sont plus là pour maintenir la paix mais pour s'assurer qu'ils aggravent bien la fièvre et qu'ils la fassent durer le temps que leur vaccin soit au point, pour nous terroriser et nous forcer à obéir et marcher droit. Je refuse d'être couvert de honte, blâmé, puni, ostracisé puis condamné si je cesse d'obéir et me conduis en homme libre." 

Nous devons nous relever face à ces monstres d'un nouveau genre. Quitte à payer de nos personnes, car si nous ne payons pas un peu aujourd'hui, nous le paierons beaucoup plus cher plus tard. Nous devons nous lever. Je ressens ça de tout mon être, du fond de mes tripes. Nous devons résister, faire front. Cette vision orwellienne et déshumanisée de leur nouveau monde, nous n'en voulons pas. 
Nous avons toujours eu une vision utopienne d'un monde nouveau, mais nous nous éloignons de cette vision, nous ne ferons que nous en éloigner de plus en plus en suivant les ordres et les décrets qu'ils nous imposent au fil des semaines. Nous la perdrons de vue pour toujours si nous ne nous relevons pas. Nous la perdrons à jamais. 

Nous ne pourrons nous accrocher à notre monde utopien que par la guérison, le courage, la défiance, par la somme de nos cœurs en nous débarrassant de celle de nos peurs. Je vous conjure de rechercher ça en vous et pour vous, de vous réveiller et de réveiller votre entourage, de chercher en vous la force de le faire, d'aller réveiller vos parents, vos amis, vos voisins afin que ceux-ci aillent à leur tour réveiller leurs parents, leurs amis, leurs voisins. 
De leur expliquer par le détail ce qui est entrain de se dérouler, de leur faire avaler, même sans leur consentement, en les gavant comme des oies s'il le faut, la fameuse pilule rouge chère à Néo, de les amener à tout questionner, à cesser d'obéir et commencer à questionner, même si c'est ardu, même si c'est dangereux, même si la tâche vous parait surhumaine, même si vous risquez d'être la risée de votre entourage et de vos interlocuteurs, de vous faire montrer du doigt ou même dénoncer, vous devez vous lever et amener les endormis à questionner leurs vies. 

Allez chez les endormis, invitez les à visionner "HOLD  UP", ce film admirable qui explique toute la magouille et désigne les responsables politiques, scientifiques et journalistiques qui se cachent derrière cette fausse pandémie fabriquée de toute pièces dans le monde entier.
Macron, ses ministres, ses scientifiques et ses médias devront payer le prix le plus élevé qui soit pour ce qu'ils ont fait. 

Moi-même, j'ai décidé de m'y atteler, ce qui se passe doit s'arrêter. Même si je le fais pas pour moi, je le fais pour mes enfants, mes petits enfants, les générations futures. Le monde qu'ils veulent pour nous n'est pas le monde dans lequel je veux vivre, et certainement pas celui que je souhaite pour mes descendants. Un monde noir, d'ordre et de contrôle permanent. 
Levez-vous, relevez-vous !


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