18 août 2007

258.Aboiements pour Ouest France, deuxième couche.


Si vous traînez dans le quartier depuis quelques temps - à laisser traîner vos mégots sur mon tapis, je suis sûr que c’est vous -, vous devez déjà savoir ce que je pense de ce torchon de merde vendu dans le grand ouest et nommé Ouest France. Si ce n’est pas le cas, je vous autorise à vous absenter quelques instants pour aller réviser vos
classiques là bas dans le passé.
Et, parce que je veux vous éviter de cliquer pour que vous alliez pas dégueulasser une autre partie de ma carpette de Kairouan qui m'a couté la peau du cul de l'ours – mais aussi parce que j’ai beaucoup de bande passante – je vais vous expliquer plus poétiquement ce que je pense de ce canard de merde dont voici un exemple de prose chiadée nous parlant du dernier papamobilisé Benêt 16 : « "Voici que l'Église, avec ce nouveau pape, se prépare à entreprendre une nouvelle étape dans sa marche millénaire." »

Sic, fucking sick, don't you think??? Mais je suis quasiment sûr d'être pratiquement certain qu'il a fait Hypokhâgne, c't'animal...

Lettre ouverte à François Régis Hutin (Rédacteur de O-F)

Pas la pein’ de m’proposer Ouest-France,
J’l’achèt’rais pas mêm’ si j’étais en transes,
J’ lirai pas votr’ torchon d’papier
Qui léch’ le cul d’vos financiers.

Arrêtez donc d’jouer les sirènes
Pour m’vendr’ vos tas d’infos malsaines,
Revoyez donc vos bases clients
Avant qu’j’vous pète deux ou trois dents.

J’vous lirai pas dans mon sofa,
J’vous lirai pas quand j’fais caca,
J’en veux pour preuve ce cri de hyène:
"Oublie ma ligne, espèce de chienne !"

J’vous lirai pas quand j’irai chier,
Mêm’ si j’étais à court d’papier,
Vir’ donc la meuf qui vient d’m’app’ler,
Qui a qu’ça à foutr’ à c’qu’on dirait!

J’espèr’ que l’on se comprend bien,
Messire Hutin, entends moi bien,
Si ell’m’rappelle un’ fois de plus,
J’t’enfonce ce post dans l’trou du cul !


Maintenant, ne vous méprenez pas sur moi. Ce n’est pas le format qui me fait chier – sincèrement, je serais incapable de vous dire lequel ils utilisent. Et je m’en fous. Ni le format, ni la police. C’est juste le contenu superficiel et orienté qu'essaie de nous prendre pour des neuneus. 
Puis pourquoi lire des nouvelles que je connais déjà tout en participant activement à la déforestation et au financement de l’UMP ? 
N’importe comment et pour en revenir à Ouest-France, tout ce que je veux dire, c’est que j’en ai pas besoin. Et si j’ai écrit le petit "poème" ci-dessus, c’est pour que la petite télé vendeuse persistante qui n’arrête pas de m’appeler chaque fois que l'automne m'abreuve de larmes - et déplume mon saule pleureur - pour que je m’abonne arrête de me les gonfler.