14 avr. 2007

245. Public Relations Unlimited


Bonjour, amis lecteurs et bloggonautes, me voici une nouvelle fois devant vos yeux émerveillés à vous coucher quelques lignes pour vous divertir – ou vous faire chier, à vous de voir – un tout petit peu.
Aujourd’hui, j’aurais souhaité vous parler des relations mais quand j’ai commencé à pianoter sur mon clavier, je ne savais plus par où commencer et les bouts de mes doigts fertiles n’arrêtaient pas de patiner sur les touches (Ma louve avait une migraine mais je vous jure pourtant que je me suis lavé les mains après les avoir rincées au savon de Marseille suite à ma caresse matinale nocturne de ce matin).


Je ne savais donc pas par où commencer, ni à fortiori sur quoi continuer ni même sur quoi centrer mes propos. Aussi demanderai-je à ceux d’entre vous qui ont rarement l’amabilité de laisser ici parfois des commentaires de vous bouger le cul fissa pour me donner votre opinion personnelle sur le thème.
Et il est clair qu’il existe un nombre incalculables de relations, telles celle qui existe entre un maître et son clébard, entre un Sarko et un Pénis, ou celle entre un glandu et une clitoridienne, ou encore entre deux clitoridiennes et / ou deux glandus, entre membres d’une même famille ou d’une même secte, entre une paire de voisins qui se haïssent tant qu’ils ont pris l’habitude de chier sur leurs pas de porte respectifs, ou bien qui s’aiment d’amour tendre et se rencontrent en secret la nuit dans la cage à ordure de leur HLM, ou entre deux inconnus qui se rencontrent dans un train et qu’y en a toujours un des deux pour raconter sa vie, ou entre un vendeur et un client qui baratinent toujours le même baratin, ou entre un capitaine et son matelot, etsétera et tutti couanti.


Aussi à vos claviers pour vos opinions sur le thème et me contiez une sorte de relation – qui peut être non seulement humaine, j’ai l’esprit large, mais aussi algébrique si ça vous fait bander les neurones, ou pourquoi pas, zoophile si c’est ce qui excite vos testicules ou vos mamelons.
Bisous.