18 sept. 2005

105.A toi, mon(ma) lecteur(trice) frivole:

Cher(e) frivole, tu me rappelles ce vieil hypocrite matant les jeunes filles à la sortie du lycée et se rappelant comment de son temps "les gens avaient tout de même de la classe". Si droit(e) dans ta stupidité. Si imbu(e) de ton incohérence. Et si constant(e) dans ta bigoterie. Les gens comme toi qui professent qu'ils ne font pas de mal tout en commettant les actes les plus grotesques. Ceux qui se cachent derrière des causes vaillantes à seule fin de servir leurs besoins égoïstes et maniaques.

Comme il est curieux de voir un(e) menteur(se) juger qui ou quoi est "faux". Oui, il est étonnant en ce 21ème siècle de voir des centaines, des milliers, oui, des millions de gens comme toi s'imitant les uns les autres et tentant de faire passer ça pour de l'originalité. Il n'y a rien d'original chez toi: tu vaux à peine dix centimes la douzaine et encore moins la barrique.

Mais je vais te dire un truc si tu veux vraiment protéger le monde libre en disant aux autres de se mêler de ce qui les regarde: MONTRE L'EXEMPLE, duschnock!
La vérité, c'est que les dix centimes que t'arrêtes pas de gratter dans le fond de ta poche; quelqu'un va bien réussir à te les reprendre, et laisse moi te dire: LES INTÉRÊTS risquent d'être faramineux.