4 juil. 2025

1072. Le Délire Socialiste d’un Monde Sans Responsabilité

 


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LE DÉLIRE SOCIALISTE D'UN MONDE SANS RESPONSABILITÉ

En fouillant dans les torchons pontifiants des socialistes de la nouvelle gauche progressiste, on reste scotché devant leur narcissisme si creux qu’il pourrait servir de trou noir à idées. Et pourtant, surprise : ce vide intersidéral est devenu un business model juteux ! Leur posture moralisatrice, aussi terrifiante qu’un sketch raté, séduit un troupeau inquiétant de moutons en quête de sens.

L’objectif ici, c’est pas de leur jeter des tomates – ils sont déjà bien assez doués pour se ridiculiser tout seuls. Non, ce qui rend leur bla-bla si savoureux, c’est qu’il expose, avec une clarté presque obscène, les fissures morales de cette gauche woke, égocentrique et postmoderne. Leur idéologie n’est plus qu’un délire psychédélique, déconnecté des faits, de la réalité, et même des notions les plus basiques de leurs propres contes de fées.

Les afficionados de ce blog l’auront capté : les idées de Marx, même si elles ne brillent pas par leur génie, avaient au moins une certaine cohérence. Les gentils prolétaires contre les méchants bourgeois, une lutte manichéenne où l’élévation des uns passaient par l’éradication des autres. Simple, net, efficace. Maintenant, comparez ça à la boussole morale d’un Raphaël Glucksmann, d’une Manon Aubry ou d'une Valérie Hayer accompagnés d'une qurantaine d'autres députés européens sous immunité parlementaire secouant des drapeaux arc-en-ciel à la GayPride illégale de Budapest - quel courage ! -, applaudissant une bande de pervers flashant leur bites devant des gosses de 4 ans. La morale, c’est pourtant pas sorcier, non ? C’est du niveau maternelle : ne heurte pas et fais pas de mal à tes voisins, partage tes bonbecs. 

Et pourtant, ces apôtres de la vertu autoproclamée patinent lamentablement. Ils nous bassinent avec leur “qualité de vie fondamentale” à laquelle tout le monde aurait droit, sans condition. Pas besoin d’être gentil, charitable ou même vaguement décent. Pas de rédemption, pas d’effort, rien. Dans leur monde de Bisounours sous stéroïdes, Jean Valjean n’aurait pas à se casser la tête pour nourrir les pauvres, et moi, je devrais pas m’inquiéter d’avoir un toit. 

Pourquoi ? Parce qu’on peut pas faire confiance à des gens comme nous, voyons ! Trop égoïstes, trop distraits, trop… humains. Alors, plutôt que de compter sur notre bonne volonté pour nourrir les affamés, loger les sans-abris ou soigner les malades, ils préfèrent déléguer tout ça à l’État. Euréka, problème résolu ! On paye des impôts, on légifère sur la taille des tomates, et hop, plus besoin de faire des choix moraux au supermarché. La générosité ? Un concept ringard. La responsabilité ? Une corvée pour les gueux.

Dans leur fantasme néo-marxiste – ou plutôt néo-communiste, soyons honnêtes –, personne n’a de devoirs, mais tout le monde a des droits. On peut tout exiger de la communauté sans jamais rien donner en retour. Génial, non ? Sauf, bien sûr, qu’il faut se prosterner devant la science omnisciente de leurs gouvernements omnipotents et, bien sûr, hyper-bienveillants. 

Dans ce chef-d’œuvre d’idiotie vertueuse, l’absence de morale, de responsabilité et de libre arbitre devient le summum de la sainteté. Soumission, obéissance, fusion dans le troupeau : voilà la nouvelle trinité morale. Ils rêvent d’un monde où on peut tout avoir sans qu’on nous demande quoi que ce soit en retour. Juste d'être “dignes ou dans le moule” pour mériter une vie de rêve. Pathétique.

Arrêtons-nous un instant pour admirer ce chef-d’œuvre de désordre intellectuel. Quelques questions, comme ça, pour la route : C’est quoi, une “qualité de vie de base” ? Qui décide ? Selon quel barème ? Le coût de la vie à Paris, c’est pas celui de Tréflaouénan. Et pour un toxico, sa “qualité de vie” passe par un stock illimité de coke en stock. On finance ça aussi ?

“Dignité sans condition” ? Sérieusement ? Le mot “digne” implique des conditions, c’est dans sa définition ! Si tout le monde est digne, personne ne l’est. C’est comme donner une médaille d’or à toute les concurrents pour leur aimable participation. Ridicule.
Ils sont sérieux quand ils parlent de violeurs et de meurtriers “dignes sans condition” ? Les gangs de banlieue, on les câline aussi, sans poser de questions ?
Et les gouvernements, ces parangons de vertu ? Qu’est-ce qui transforme un politicien véreux en saint dès qu’il décroche un poste ? Leur foi en l’État-providence est touchante, mais elle sent la naïveté à plein nez.

Cette vision néo-communiste n’a rien de neuf. C’est juste la vieille “volonté générale” de Rousseau remise au goût du jour, un fantasme totalitaire où tout le monde s’aligne dans une harmonie béate. La morale, la vertu, la bonté ? Pas des objets figés, mais des muscles qu’on travaille. Sans pratique, ils s’atrophient. Une société n’existe pas sans jugements individuels, sans interactions, sans responsabilités. Mais nos amis woke préfèrent externaliser tout ça à l’État, comme si des bureaucrates élus par hasard allaient mieux gérer nos vies qu’un miroir et un peu de bon sens. 

Frédéric Bastiat, le député qu'avait fait une battle avec Proudhon, l’avait bien compris dans La Loi : confier nos problèmes à des gouvernements, c’est donner les clés de nos vies à des gens aussi imparfaits que nous, tout en leur refilant la moitié de nos ressources pour le privilège. Bravo, quel deal ! La moralité, la responsabilité, le raisonnement ? Comme des biceps : si on les utilise pas, ils fondent. Et le pire crime du communisme – l’original, pas la version light des woke – a été d’anéantir la société civile, ces institutions qui forgeaient des comportements moraux. Et soyons clairs : le socialisme, sous toutes ses formes, est une usine à échecs. Quelques exemples pour la route :
Les allocations familiales ont pulvérisé les familles d'immigrés.
Les aides sociales créent des dépendances, pas des solutions.
Les réglementations étouffent la créativité et enfantent des monopoles.
L’éducation publique ? Toujours un cran en-dessous du privé.
Les soins de santé socialisés ? Un fiasco généralisé en Occident.
La sécurité sociale ? Elle pousse les gens à ne plus épargner pour leurs vieux jours.

Et on pourrait continuer jusqu’à ce que les poules aillent sonner chez l'arracheur de dents. La signalisation de vertu, ce cirque où l’on parade ses bons sentiments, n’a rien de moral. C’est juste du narcissisme en costume de gala. La morale, c’est simple, accessible à un gamin de cinq ans. Et pourtant, ces génies auto-proclamés n’y pigent rien.

Les communistes d’antan voulaient le pouvoir pour changer le monde. Les woke néo-communistes d’aujourd’hui ? Ils veulent juste la sécurité, un doudou émotionnel. Être libérés de la peur, des responsabilités, de l’obligation d’être vertueux. Ils veulent une vie douce sans avoir à la mériter. Le Forum économique mondial avait peut-être raison : “ Vous ne posséderez rien et vous serez heureux.” Sauf qu’eux, ils veulent juste que chacun ait droit à sa  ration d’insectes ou de gruau gouvernemental, sans se poser de questions. 

Une dernière pour Glucksmann et Aubry : quand vous aurez votre utopie, serez-vous “inconditionnellement dignes” de votre ration de Solyent Green ? Ou vous faudra-t-il quand même faire la queue comme tout le monde ?

3 juil. 2025

1071. L'héritage des Pique-Pusse


 L'HÉRITAGE DES PIQUE-PUSSE

Sous un ciel d'été lourd, saturé d'une chaleur poisseuse, Dorothée Pique-Pusse avait murmuré une vérité que personne n'avait voulu entendre. Ses mots, fragiles comme des feuilles mortes, s'étaient envolés dans l'air étouffant, proclamant une séparation impossible : elle et son miroir à monture dorée s'étaient disjoints, non pas dans le monde tangible, mais au-dessus de son propre corps, dans un espace que nul ne pouvait nommer. 

Ma mère, Solange, me raconterait cette histoire avec une gravité qui me donnerait la chair de poule, même des années plus tard, comme si les mots eux-mêmes portaient une malédiction. Mémé Dorothée, avec sa paranoïa légendaire, avait serré ce miroir contre elle jusqu'à son dernier souffle, ses doigts noueux l'agrippant comme une ancre dans un océan de ténèbres. Et pourtant, malgré les murmures et les regards en coin, le miroir était toujours là, niché entre ses mains, scintillant d'une lueur qui semblait défier la mort.

Dans la pénombre d'un salon funéraire où l'air sentait le lys fané et la cire fondue, le miroir reposait encore sur sa poitrine. Mémé Dorothée, figée dans son cercueil, était l'ombre d'elle-même : un corps émacié, d'une pâleur spectrale, ses côtes saillant sous une tissu ridé comme un parchemin. Le miroir, avec son cadre doré terni par le temps, semblait absorber la lumière des chandelles, projetant des reflets qui dansaient sur les murs comme des spectres moqueurs. 

J'avais sept ans à l'époque, un âge où l'imagination transforme chaque ombre en monstre, chaque éclat en menace. Puis, il disparut. Le miroir, cet artefact maudit, se volatilisa comme s'il avait été avalé par l'obscurité elle-même. Une panique viscérale s'empara du salon funéraire. Les murmures devinrent des cris, les prières des hurlements. Sans ce miroir entre les mains osseuses de mémé Dorothée, une malédiction s'abattrait sur la lignée des Pique-Pusse, une hantise qui les poursuivrait jusqu'à la fin des temps. 

Ils fouillèrent chaque recoin, renversant tables et bancs, payant même des ouvriers pour plonger dans les entrailles fétides des égouts, au cas où que le miroir y aurait été balourdé dans un acte sacrilège. Les Pique-Pusse pleuraient, non seulement pour leur matriarche, mais surtout par la peur d'un destin scellé par cet objet perdu. Certains s'effondrèrent à genoux, implorant un ciel indifférent, leurs mains jointes tremblant comme si elles pouvaient conjurer l'invisible. Mais le miroir, comme s'il se jouait d'eux, demeura introuvable. 

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Des mois passèrent, puis des années, et les prières semblèrent apaiser les démons tapis dans l'ombre de cet héritage maudit. Ou du moins, c'est ce qu'ils pensaient tous. Car dans cette histoire, répétée jusqu'à l'usure, un détail manquait toujours. Un "oups" fatal, un secret que je porte encore tel un fardeau qui me hante et qui pourrait bien commencer et finir avec moi.
Je me souviens du jour des funérailles comme si le temps s'était figé. J'avais sept ans, une mémoire vive comme la lame de Zorro, gravant chaque instant dans mon esprit. 

Mes parents, Bertrand et Solange, discutaient à voix basse avec un vieil homme dont le visage m'échappe encore, bien que sa présence résonne encore comme un écho dans ma tête. « Qui portera le cercueil, Bertrand ? » demanda ma mère, ses mots flottant dans l'air saturé de chagrin. Mon père, la voix râpeuse d'un fumeur invétéré, répondit : « Maxime, son petit-fils aîné, et quelques gaillards costauds. Dieu nous préserve de perdre ce maudit miroir en chemin. Elle le fixait toujours, ce satané truc… comme si elle craignait que quelque chose ne s'en échappe. » Il ponctua ses mots d'un rire sec, mais ses yeux trahissaient une peur qu'il n'admettrait jamais.

J'étais là, agrippé à la robe noire de ma mère, mes petits doigts crispés sur le tissu. De l'autre côté de la pièce, le cercueil de mémé Dorothée trônait, ouvert, et le miroir scintillait sur sa poitrine, captant la lumière comme une étoile déchue. Son visage, encadré de cheveux gris épars, était d'une pâleur vampirique, ses lèvres peintes d'un rouge trop vif, comme une blessure ouverte. 

À sept ans, j'imaginais du sang, celui de sa dernière victime, une pensée que je gardais pour moi de peur d'une remontrance. L'ennui me gagna bientôt. Les conversations des adultes s'effilochaient dans mon esprit, et je me dirigeai vers une table où trônait un bol en verre empli de sucettes, brillant comme un trésor. J'en pris une, puis deux, puis trois, mes petites mains avides défiant les règles implicites. Le sucre était une drogue pour l'enfant que j'étais, et je me glissai dans la file des condoléances, suçotant la première, observant les tableaux accrochés aux murs, leurs scènes pastorales semblant murmurer des secrets anciens.

La file se réduisit enfin, et je me retrouvai soudain au pied du cercueil. Un frisson me parcourut l'échine, l'air glacial malgré la chaleur estivale. Les derniers adultes s'éloignaient, préparant le corbillard ou échangeant des adieux. J'étais seul. Mes pas hésitants me rapprochèrent du bord de la boîte à mémé, mes doigts s'agrippant au bois verni. J'imaginais mémé se redressant, ses yeux caves s'ouvrant pour me dévorer. Mais ce fut l'éclat du miroir qui capta mon regard, une lueur hypnotique, comme un appel. Il me fixait, immobile, défiant toute logique. Je ne sais pas ce qui me prit alors. Peut-être la curiosité, peut-être une pulsion plus sombre. Mes mains, tremblantes, s'élevèrent en direction du miroir. Chaque mouvement semblait ralenti, comme si le temps lui-même retenait son souffle. 
Je jetai un regard autour de moi, terrifié à l'idée qu'un adulte me surprenne. Puis, dans un élan, je l'arrachai des mains de mémé Dorothée. Ses doigts raides claquèrent contre le bois du cercueil, un son qui me fit bondir. Je serrai le miroir contre ma poitrine et courus, un vent relatif sifflant dans mes oreilles, jusqu'à une pièce isolée où je m'effondrai, le cœur battant.« Respire profondément », murmurai-je, un conseil appris à l'école. Mais la culpabilité me rongeait déjà. J'avais volé le miroir maudit, et avec lui, un secret que je ne comprenais pas encore. Je ne pouvais pas le rendre – pas sans avouer mon crime. Alors, je le gardai, caché dans mon pantalon, un fardeau froid contre ma peau.

Le chaos qui suivit fut indescriptible. Les Pique-Pusse fouillèrent le salon funéraire, hystériques, pendant que je me tenais derrière mon père, muet, le miroir pressé contre mon bas-ventre. Les ouvriers éventraient les canalisations, le sol, tout, à la recherche de l'objet perdu. Personne ne me regardait. À sept ans, j'étais invisible, un fantôme parmi les vivants. Les années passèrent, mais le miroir resta avec moi, un compagnon sinistre. 

La nuit où je le ramenai chez moi, des sons commencèrent : des sifflements sourds, des craquements, comme si les murs eux-mêmes conspiraient contre moi. Je les ignorai, me convainquant que c'était la culpabilité, mais au fond, je savais. Le miroir n'était pas un simple objet. Il était vivant, ou du moins, il portait quelque chose de vivant.

Adolescent, je devins maître dans l'art de le cacher, mais aussi esclave de sa présence. Chaque regard dans son reflet devint une épreuve. Il montrait mon visage, oui, mais parfois, des ombres dansaient à la périphérie, des formes indistinctes, des murmures qui n'étaient pas les miens. Je me demandais si mémé Dorothée avait entendu les mêmes voix, vu les mêmes spectres. Mais je repoussais ces pensées, les enfermant dans un recoin de mon esprit.

À dix-huit ans, je décidai de l'affronter. Une nuit, seul dans ma chambre, je brandis le miroir, déterminé à briser son emprise. Les voix revinrent, plus nettes, plus proches. Elles n'étaient plus dans ma tête – elles venaient du cadre doré, s'enroulant autour de moi telle une brume. Je crus entendre une voix féminine, un cri étouffé, puis un silence oppressant. Je rangeai le miroir, tremblant, et jurai de ne plus jamais le regarder.

Mais à vingt-trois ans, ma curiosité l'emporta. Armé de ma vieille Twingo et d'une détermination vacillante, je laissai le miroir me guider. Ses murmures devinrent des cris, des directions. Une nuit, ils me menèrent jusqu'à une route secondaire, bordée de champs envahis d'herbes folles. Un hurlement strident jaillit du miroir, me faisant perdre le contrôle. La voiture plongea dans un fossé, mais indemne et à grands coups de marche avant et de marche arrière, j'extirpai tant bien que mal la voiture du fossé et la garai au bord de la route. Je continuai à pied, le miroir dans une main, une peur indescriptible dans l'autre.

Au cœur d'une clairière, je me retrouvai face à une pierre tombale, solitaire, entourée d'un carré d'herbe rase. Les grillons chantaient, l'aube perçait, et l'air mordait ma peau. Je baissai le miroir, désormais silencieux, et lus l'inscription sur la stèle : " Dorothée Pique-Pusse ". Mon sang se glaça. Le monde semblait retenir son souffle, et pourtant, un autre souffle, rauque, emplissait l'air. 

Je me détournai de la tombe et jetai un regard dans le miroir, et ce que je vis me hante encore. Une silhouette, petite, recroquevillée près de la pierre. Une chose osseuse, couverte de cheveux humides et gluants, sa peau gris-bleu en décomposition, un œil fendu truffé de champignons putréfiés. Elle se balançait, convulsant à chaque respiration, un râle qui n'avait rien d'humain. Je lâchai le miroir et courus, laissant derrière moi cet objet maudit et l'horreur qu'il avait invoquée.

Des décennies ont passé. J'ai soixante et un ans aujourd'hui, une vie entière derrière moi, des petits-enfants, et pourtant, le miroir me hante encore. Chaque reflet, chaque miroir que je croise, me rappelle cette nuit. Je ne crois pas que mémé Dorothée était la chose que j'avais vue. Non, elle était liée au miroir, mais ce qu'il contenait était autre chose – une entité qui attendait, affamée, dans les reflets. En l'abandonnant dans cette clairière, en le rendant à mémé Dorothée, j'avais cru m'en libérer, mais parfois, j'entends encore ce souffle rauque, cette respiration qui n'était pas la mienne. Et puis, il y a deux nuits, il est revenu. Sur le pas de ma porte, le miroir à monture dorée, intact, scintillant sous la lumière de la lune. Un souffle dans mon oreille, un frisson dans mon cou. Je ne l'ai pas ramassé. Pas encore. Mais il est là, et je sais qu'il m'attend. Car dans son reflet, quelque chose me regarde, et je crains que, cette fois, il ne me laisse plus repartir.

Rien n'est comparable à la sensation de voir un miroir cerclé d'or apparaître sur le pas de votre porte ; le bruit d'une respiration dans votre oreille, sachant que la seule façon de le percevoir est de regarder dans son reflet, sans savoir ce qui vous attend. La seule certitude est que ce nœud dans votre estomac n'est dû qu'à quelque chose que vous ne pouvez pas affronter, que la sensation d'un liquide qui coule dans votre cou est inévitablement réelle, à moins d'utiliser ce que vous redoutez le plus.

Mais c'est tout ce qui reste de votre héritage, alors vous le ramassez.

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Merci pour votre inconditionnel soutien qui me va droit au cœur
... ainsi qu'au porte-monnaie
ou
et à très bientôt ! 

1 juil. 2025

1070. Mondialistes vs Rebelles: La Guerre du Siècle

 

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MONDIALISTES VS REBELLES
Comment les mondialistes utilisent un côté de la médaille pour forcer les masses à mendier l'autre et pourquoi ils échoueront finalement.

Sous les vagues bien vénères des crises socio-économiques et des drames politiques mondiaux, y’a une baston hardcore qui se joue dans l’ombre, mais personne la calcule vraiment. Oubliez les kalashs et les tanks, ici, on se bastonne à coups de storytelling et de faits bien placés. C’est une guerre de plumes et de petits actes de rébellion silencieux qui déchirent tout. Deux camps, deux visions totalement opposées, prêts à s’arracher la victoire.

D’un côté, vous avez les boss du game : les gros bonnets du biz, les élites qui se la racontent, les banquiers qui nagent dans les billets, les multinationales qui pèsent lourd, les think tanks qui cogitent trop et leurs marionnettes politiques. Ces mecs bossent H24 pour nous laver le cerveau et modeler la société à leur sauce, genre un « Nouvel Ordre Mondial » bien flippant. 
Un monde où tout est sous leur contrôle, du gouvernement aux biffetons, en passant par nos vies et même par nos valeurs. On les appelle les « mondialistes », et ouais, ils aiment se donner ce nom avec un petit rictus genre « on vous a bien niqués ». Puis de l’autre côté, vous avez un mouvement qui sort de nulle part, sans big boss ni organigramme. C’est du pur freestyle, guidé par des mentors et des activistes qui montrent l’exemple, unis par des principes bien ancrés, genre la loi naturelle, vous voyez ? C’est une équipe hétéroclite : des croyants, des athées, des agnostiques, des riches, des fauchés, des gens de tous les coins du globe. Leur point commun ? Une foi béton en la liberté, celle qui coule dans leurs veines. On pourrait les appeler le « Mouvement pour la Liberté », ouais, un nom qui claque bien, pas vrai ?

Les mondialistes, avec leurs griffes sur le pouvoir, se prennent pour les sauveurs de l’humanité, mais franchement, c’est du pipeau. Leur délire de monde centralisé, c’est une dystopie bien glauque où nos libertés vont direct à la poubelle pour un contrôle total. Leurs théories éconologiques, genre des solutions miracles pour sauver la planète ? Que dalle ! C’est juste des outils pour concentrer la thune et le pouvoir dans les poches d’une poignée de gros poissons. 

En face, le Mouvement pour la Liberté, c’est la lumière dans ce bordel sombre. C’est l’esprit humain qui refuse de plier, un vrai rempart contre cette vague mondialiste. Ces mecs et ces meufs, avec leurs petits actes de courage et leurs majeurs bien dressés, réécrivent l’histoire. Ils challengent le système et rêvent d’un monde où la liberté, c’est pas un bonus, mais un droit inaliénable, point barre.

Niveau thune, les mondialistes balancent des théories comme le keynésianisme, un truc pseudo-scientifique qui justifie de claquer des milliards publics pour « stimuler » l’économie. Résultat ? Inflation galopante, monnaie qui vaut que dalle et des dettes qui vont plomber nos gosses et les gosses de nos gosses. C’est comme mettre un pansement dégueulasse sur une jambe avec fracture ouverte en introduisant tout un tas de saloperies dans la plaie.
Pendant ce temps, le Mouvement pour la Liberté pousse pour une économie libre, une monnaie saine, un État qui se mêle pas de tout ce qui le regarde pas et des marchés vraiment libres. Ils savent que la vraie prospérité, ça vient des hommes et des femmes qui se bougent, pas d’un État qui joue les nounous. En politique, les mondialistes nous vendent un faux clash gauche-droite pour nous diviser et mieux régner. Ils manipulent le game, montent les gens les uns contre les autres, tout en gardant leurs mains sur les manettes. C’est un spectacle de marionnettes, un cirque pour détourner l’attention de leur vrai plan. 

Le Mouvement pour la Liberté, lui, passe au-dessus de ces conneries. Il sait que le vrai pouvoir, il est dans l’individu, pas dans un parti ou un bureau de l’État. Ils veulent revenir aux bases : un gouvernement qui ferme sa gueule, des droits protégés et une liberté qui claque.
Ceux qui se la jouent spectateurs, qui ferment les yeux ou qui dorment dans cette bataille, ils se plantent grave. Cette guerre, elle va toucher tout le monde, pas moyen d’y échapper. C’est une bataille pour l’avenir, pour décider si nos gamins vivront libres ou enchaînés à une technocratie sans cœur qui s’en bat les steaks de leurs rêves. Et ouais, ne soyons pas juste des spectateurs qui matent le show depuis les gradins. 

Certains intellos à deux balles veulent réduire ça à un débat d’idées, genre les deux camps sont pareils, chacun voulant imposer sa vision. Merde alors, ils captent rien ! Cette guerre, c’est pas une chamaillerie de bac à sable, c’est une lutte pour l’âme de l’humanité. D’un côté, les mondialistes veulent tout contrôler, tout aseptiser, tout uniformiser. Ils nous vendent une utopie, mais c’est un cauchemar où on est juste des pions. De l’autre, le Mouvement pour la Liberté défend notre droit de vivre comme on l'entend, tant qu'on fait pas chier les autres. C’est le combat de l’individu contre la machine.

MONDIALISATION VS. « POPULISME »
Les mondialistes, ces pros de la division, jouent sur les fausses oppositions depuis des lustres pour foutre le bordel et en profiter. Leur dernier coup ? Coller l’étiquette « populiste » aux défenseurs de la liberté, genre c’est des nazis égoïstes. Brexit, Trump, tout ça a fait flipper les médias mainstream, qui ont crié au loup : « Les populistes vont tout niquer ! » Traduction : mondialisme = cool, populisme = méchant. Bien essayé, mais ça sent l'arnaque à plein nez. Ils veulent nous faire croire que la liberté, c’est le fascisme. Et pendant ce temps, ils orchestrent une crise économique qu’ils balancent sur le dos des « populistes ». Astucieux, non ? Mais on n’est pas tous des pigeons.

COMMUNISME VS. FASCISME
Encore un de leurs tours de passe-passe. Les mondialistes financent des groupes comme BLM ou Antifa ou les féministes hardcore pour semer la zizanie, tout en poussant les conservateurs à péter un câble et à virer fascistes en réaction. C’est du déjà-vu : dans les années 30, ils ont fait pareil en Allemagne, et boum, chaos total. Aujourd’hui, ils rêvent de refaire le coup partout en Occident, avec des politicards qui veulent plus de flics. Vous voyez le délire ? Toujours plus de contrôle, peu importe le camp. Mais le Mouvement pour la Liberté, avec son influence qui grimpe, peut casser ce plan foireux. Faut juste pas qu’on se laisse embobiner.

COMPAS MORAL VS. RELATIVISME MORAL
Les mondialistes veulent nous vendre leur relativisme moral, genre « y’a pas de bien ni de mal, tout est relatif ». Super plan pour faire de vous des pantins facile à manipuler. Mais ils ont un gros problème : la conscience humaine, ce truc chiant qui nous rappelle ce qui est juste. Ils peuvent essayer de  nous embrouiller, mais ils effaceront jamais cette petite voix. Leur relativisme, c’est pas du progrès, c’est une arnaque pour nous faire gober leurs conneries.

COLLECTIVISME VS. INDIVIDUALISME
Le mondialisme, c’est « sacrifie ta liberté pour le bien commun ». Sauf que le « bien commun », c’est eux qui décident ce que c’est. Ils veulent nous faire croire que l’individualisme, c’est la fin du monde, mais la plupart des catastrophes, c’est eux qui les déclenchent ! Les humains aiment les petits groupes, pas les méga-tribus mondiales. Vous avez déjà remarqué comment on se sent seuls dans une grande ville ? C’est pas naturel, leur délire collectiviste. On veut être libres, pas des moutons dans leur système.

CONTRÔLE TOTAL VS. RÉALITÉ
Leur rêve de tout contrôler, c’est mort d’avance. Même la science le dit : Heisenberg, Gödel, tous ces cracks ont prouvé qu’on peut pas tout prévoir ni tout maîtriser. Le principe d'incertitude d'Heisenberg illustre ce problème, car il stipule que quiconque observe un système en action peut influencer son comportement, indirectement ou inconsciemment, d'une manière imprévisible. Cette limitation engendre des quantités inconnues, rendant la prévisibilité impossible et le contrôle total du système inaccessible.
Les mondialistes, avec leur délire de divinité, se cassent les dents sur les lois de l’univers. Y’aura toujours des rebelles, des imprévus, des mecs qui leur feront un gros fuck. Leur utopie, c’est un château de cartes qui s’effondre dès qu’un « loup solitaire » se pointe.
Ce principe s'applique également à la psychologie humaine, comme l'ont découvert les psychanalystes lors du traitement de leurs patients. L'observateur ne peut jamais observer son patient sans influencer indirectement son comportement de manière imprévisible. Par conséquent, une analyse totalement objective de ce patient est impossible.

Ce que les élites recherchent, c'est un système qui leur permettrait d'observer et d'influencer chacun de nous dans les moindres détails sans déclencher de réaction épidermique inattendue. Cependant, les lois de la physique et de la psychologie rendent ce niveau de contrôle impossible. Il y aura toujours des quantités inconnues, des radicaux libres et des imprévisibles qui peuvent faire échouer même une utopie apparemment parfaite.

De plus, la preuve d'incomplétude de Kurt Gödel fournit une explication mathématique de la lutte des élites contre les quantités inconnues et de leur inévitable échec. Les travaux de Gödel ont prouvé que l'infini est un paradoxe auto-inclusif qui peut pas être défini par les mathématiques.

Bertrand Russell, un mondialiste reconnu, a travaillé sans relâche pour démontrer que l'univers entier pouvait être décomposé en nombres. Cependant, les efforts de Russell sont restés vains, et la preuve de Gödel a plus tard anéanti sa théorie. Russell s'opposa à la preuve de Gödel, mais en vain.

La preuve mathématique de Gödel a détruit le cœur même de l'idéologie mondialiste, prouvant que les aspirations mondialistes à la divinité ne se réaliseraient jamais. Il y a des limites à la connaissance de l'homme et à ce qu'il peut contrôler. Les mondialistes ne peuvent l'accepter, car s'ils l'acceptaient, tous les efforts qu'ils ont déployés depuis des décennies, voire des siècles, seraient vains.

La question est une question d'inconnues. La société humaine peut-elle un jour être totalement dominée, ou la rébellion contre les systèmes oppressifs est-elle naturelle ? L'attention constante de l'establishment à l'idée du « loup solitaire » et aux dommages qu'une personne agissant en dehors des diktats du système peut causer suggère que les élites craignent les réactions imprévisibles qui pourraient miner leur autorité.

EN GROS
Le pouvoir, il est dans nos mains, amigos. Les mondialistes peuvent bien essayer de tout verrouiller, ils perdront toujours. Y’aura toujours quelqu'un pour se lever et dire « non ». Alors, choisissez votre camp, et faites gaffe : l’avenir, c’est maintenant qu’il se joue.